L’Hiver à l’École des loisirs : Tout près de toi / Le secret des sables / Pendant ce temps sur Terre

 

Avec la rentrée littéraire de cet hiver, L’Ecole des loisirs a invité les grands noms de son catalogue à venir présenter leur nouveau titre, mais c’est aussi l’occasion pour les petits nouveaux de venir se faire un nom, ce que Mark Janssen, Oliver Jeffers et surtout Levi Pinfold ont fait ! Avec des histoires sensibles, engagées et référencées, ces trois auteurs m’ont définitivement séduite !

Un dernier soir à Pékin de Golo Zhao

Titre : Un dernier soir à Pékin

Auteur :  Golo Zhao

Traduction : Alice Touch et Nube & Co

Éditeur vf : Glénat

Année de parution vf : 2022

Nombre de pages  : 256

Résumé : Originaire d’une ville industrielle, He Liu habite à la capitale. Un jour de neige, il passe une soirée en compagnie de sa petite amie. Ensemble, ils se promènent dans les rues de Pékin et s’échangent des confidences.

Le parfum des grandes vacances de Thibault Prugne

Titre : Le parfum des grandes vacances

Auteur : Thibault Prugne

Éditeur : Margot

Année de parution : 2019

Nombre de pages : 33

Histoire : Je me souviens de sa cabane qui flottait dans les champs comme un phare sur l’océan ; des feuilles du vieux frêne scintillant au soleil, de l’odeur du linge qui séchait au fond du jardin, du bourdonnement des abeilles et du chant des mésanges.
Pépé Léon faisait partie de ces gens qui aimeraient que rien ne change jamais. Qui ne veulent pas refaire le monde, juste vivre au milieu et l’écouter respirer.
Je m’appelle Louise et ceci est mon histoire.
Le parfum des grandes vacances est une ode à la nature, une invitation à la regarder, à l’écouter ; à profiter des petits bonheurs simples. À travers cette histoire mélancolique basée sur le souvenir, l’auteur a également souhaité créer un contraste entre une période sombre de l’Histoire – la guerre – et l’insouciance de l’enfance et de la nature. L’été comme un moment suspendu, une bulle où tout est beau, paisible.
« À cet instant, je ne savais pas si je devais en vouloir à pépé Léon ou le remercier de m’avoir fait oublier l’époque dans laquelle nous vivions. »