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La voie du tablier de Kousuke Oono

Titre : La voie du tablier

Auteur : Kousuke Oono

Éditeur vf : Kana (Big)

Année de parution vf : Depuis 2019

Nombre de tomes vf : 9 (en cours)

Histoire : Notre homme est ancien yakuza devenu homme au foyer… Il se faisait appeler « Tatsu, l’immortel » ! Aujourd’hui, il est l’homme idéal : il prépare des bentô à tomber, il repère les meilleurs promotions et il aide même d’anciens collègues (?) dans leur quotidien… Mais malgré son adorable tablier, il ne peut totalement gomer son air patibulaire et son regard de tueur… Pour notre plus grand plaisir !

Cette semaine, Xander et moi vous co-présentons le nouveau seinen humoristique de Kana !

Mon avis :

Tome 1

La réputation de La voie du tablier était déjà parvenue à mes oreilles avant sa licence par Kana il y a peu. J’ai donc été ravie d’apprendre que je pourrais lire ce titre détonnant en français. Pour autant, à part sa bonne réputation, je ne savais rien de plus sur cette oeuvre qui est la première publiée sous forme d’un volume pour son auteur, Kousuke Oono.

Ce seinen issu du même magazine que Deep Sea Aquarium Magmell et Magical Girl Holy Shit est un peu un mélange des deux. Il a le côté tranche de vie du premier et le côté WTF du second. Car en effet, il porte sur un segment que je lis peu, le manga humoristique.

Nous suivons dans ce titre, un ex yakuza, Tatsu, qui s’est reconverti en homme au foyer pour les beaux yeux de sa femme, designer et fan d’animes. A travers des chapitres assez courts, l’auteur nous propose de découvrir son nouveau quotidien, qui aurait pu être banal comme celui des autres hommes au foyer s’il n’y avait pas cette petite touche de son ancienne vie. Ainsi dans chaque chapitre va se produire quelque chose qui va essayer de déclencher notre rire et qui viendra du passé de Tatsu : ce sont les flics du quartier qui l’arrêtent parce qu’il transporte une valise, c’est un arnaqueur qui cherche à lui vendre des couteaux, d’anciens amis ou ennemis délinquants sur qui il tombe, son apparence qui fait peur aux gens du quartier, etc. Le mangaka joue à fond la carte des clichés, clichés sur les hommes/femmes au foyer (préparation de repas kitch, utilisation d’appareils ménagés hi-tech, bousculades lors des soldes…), clichés sur les yakuzas (tatouages, cicatrice, lunettes noires, costard, valise, gueule effrayante, maniement du couteau comme un expert…) et le mélange est assez sympa.

Je dois avouer que j’ai ri à plusieurs reprise. Le chapitre avec le nouvel aspirateur de Tatsu et son chat est excellent. Mais le gros point noir de cette série vient des chutes des histoires. Si celles-ci sont bien amenées et développées, la fin tombe souvent à plat, comme si l’histoire était stoppée net dans son élan et c’est bien dommage. Du coup, je ne sais pas si je tiendrai énormément de tomes même si pour le moment j’aime bien. J’ai juste peur qu’à force de manquer de liens entre eux, les chapitres ne deviennent trop anecdotiques de même que leur lecture. Il faudrait qu’on puisse voir une certaine évolution de la situation du héros ou du couple.

Du côté des dessins, j’ai vraiment pris du plaisir à les découvrir. Ceux-ci sont soignés et détaillés. J’adore les têtes que l’auteur fait faire à Tatsu et à ceux qu’il croise. Les planches sont dynamiques. On a vraiment un titre de qualité pour ça. L’édition de Kana l’est tout autant, avec une belle couverture donnant de suite le ton, des notes de bas de page qui expliquent bien certaines situations et une traduction qui rend bien les différents niveaux de langage du titre.

Même si ce n’est pas un coup de coeur, La voie du tablier fut une découverte intéressante qui m’aura arraché plus d’un sourire et d’un rire. Dans le genre humoristique, je préfère les titres qui ont su construire un peu plus leur histoire comme Otaku Otaku, Yotsuba ou Ranma, mais celui-ci se détache du lot par son cadre et pourrait les rejoindre si l’auteur arrête de faire des chapitres indépendants. Affaire à suivre.

Pour lire la chronique de Xander sur ce tome 1 également, cliquez ICI

Tome 2

Quatre mois plus tard, je suis ravie de retrouver les aventures farfelues de notre yakuza devenu homme au foyer et je me rends compte que j’ai peut-être été un peu sévère avec ses débuts. Certes ce n’est pas un titre qui aura une histoire au long cours à suivre mais plutôt un titre composé de petits chapitres indépendants, cependant ça ne gatte en rien mon plaisir au contraire !

J’ai éprouvé un vrai plaisir à retrouver Tatsu. L’autrice a compris comment gérer un personnage aussi envahissant, il lui faut des chapitres courts et énergiques mettant bien en valeur le décalage entre ce personnage et notre réalité, et ça marche à tous les coups ! Ici, comme dans le premier tome, on passe d’une situation abracadabrantesque à une autre et c’est tordant !

Je me suis à la fois amusée de le voir soupçonné par les flics du coin ou par d’anciens rivaux, de le voir essayé de s’adapter à la vie du quartier, chercher à faire du sport, aider ses amis et voisins ou rencontrer son beau-père. Tout est très drôle et je me suis souvent retrouvée à me bidonner toute seule ^^ Le meilleur étant le chapitre où ils cherchent à acheter une voiture avec sa femme et celui où il fait du fitness, désopilant tant le décalage est grand entre ses réflexes d’ex-yakuza et nous.

Pour autant, je suis frustrée que le tome soit si court et qu’on doivent payé si cher. Kana abusent un peu sur le coup. Heureusement que la série a peu de tomes au Japon et que les sorties seront lentes.

Tome 3

Après un très bon tome 2, je suis un peu plus réservée cette fois avec une lecture qui m’a moins fait rire et où je n’ai pas beaucoup accroché aux tentatives de renouvellement de l’auteur. La suite des aventures de Tatsu l’immortel ont beau être drôles, elles manquent un peu de folie cette fois. Il n’y a aucun chapitre que j’ai trouvé marquant. J’ai juste eu l’impression que le mangaka reprenait la même recette sans rien y ajouter, c’est dommage.

Après une entrée en matière plutôt rigolote où Tatsu et sa femme lutte contre un cafard, j’ai eu l’impression que Kousuke Oono cherchait à nous montrer un peu plus cette dernière qu’on a peu vu jusqu’à présent, mais ce n’est pas encore concluant. Miku a beau être décalée, fraiche et amusante, il manque encore quelque chose. Que ce soit quand il essaie de lui enlever sa fatigue ou qu’il fait tout pour lui permettre de rencontrer ses idoles, Tatsu est plus drôle qu’elle. Son duo avec son kohai fonctionne bien. Grand moment quand ils préparent de la pâte à pain. Pour le reste, on a droit à Tatsu joue les Père Noël, les serveurs, fait les courses et rencontre une connaissance ou va au parc. Rien qui ne m’ait laissé un souvenir impérissable même si j’ai bien pouffé à 1 ou 2 moments.

Le talent du mangaka se situe plus dans la mise en scène dans ce tome, avec des jeux de poses et de cadrages aussi amusants et frais. C’est totalement barré à l’image du concept mais ça fonctionne. On passe un bon moment. Les tronches de Tatsu sont toujours aussi impayables surtout comparées aux situations dans lesquelles il se trouve. Ça fonctionne bien.

Ainsi même si le tome est plus faiblard que le dernier, ça reste une bonne série de divertissement et de tranche de vie.

Tome 4

J’ai encore vécu un excellent moment de détente avec ce tome qui m’a bien fait rire et j’en suis soulagée après un tome 3 que j’avais trouvé plus faible.

Ici, l’auteur continue à utiliser les mêmes ressorts qu’habituellement avec le décalage entre Tetsu et les autres mais elle y ajoute aussi des décalages avec d’autres yakuzas, d’autres personnes du quartier ou d’autres proches et c’est vraiment très très drôle. Je me suis poilée pendant les 3/4 de ma lecture ! Le mangaka joue sur un comique de répétition et de situation désopilant avec une mise en scène dynamique, tonitruante dès le début qui ne retombe pas.

Déjà, les chapitres d’ouverture avec le chat qui pique le poisson que Tetsu veut acheter et fini poursuivi par une bande de yakuza est excellent ! Puis celui avec le voisin qui veut faire des grillages et les flics qui interviennent, s’achève de manière désopilante. Je me suis aussi beaucoup amusée avec les chapitres où intervient la femme de Tatsu. Elle sait mettre en valeur ce qui va nous faire rire chez son mari et elle est aussi barrée que lui parfois (ah, l’épisode à la plage !). Les interactions de Tatsu avec son entourage furent également un vrai plus. Ce moment où il lit à la bibliothèque, mon dieu et celui où il aide le petit à faire ses devoirs de vacances, l’auteur va vraiment loin. Sans parler de la conversation avec les autres femmes au foyer où le malentendu qui né des situations décrites m’a fait hurler de rire.

Non vraiment, il n’y a quasiment rien à jeter dans ce tome. J’ai vraiment trouvé que l’auteur maîtrisait de mieux en mieux sa narration, que ce soit dans l’enchaînement des chapitres ou dans l’écriture des chutes. C’est vraiment désopilant.

Alors oui, on reste sur un manga humoristique qui repose sur de courts chapitres à gags mais ceux-ci tout en étant simples, tout en reposant sur les mêmes bases se renouvellent et font vraiment rire. Une franche de partie de rigolade qui fait du bien !

Tome 5

Pas de chance avec ce tome, même si ce n’était pas déplaisant, je l’ai à nouveau trouvé plus faible ou du moins l’humour de l’auteur m’a moins parlé.

Pourtant Kousuke Oono a la bonne idée de diversifier les personnages mis en scène. On a moins de chapitres avec seulement Tatsu et on voit plus sa femme ainsi que ses amis et connaissance, ce que je trouve chouette. Ça fait du bien de varier un peu et ça permet d’assister à de nouvelles déconvenues ma foie assez drôle, comme lors de sa visite dans un buffet à volonté, ou lors de la visite de ses beaux-parents, ou encore quand ils se prennent une cuite. C’est une dynamique qui me plaît.

Cependant tous les chapitres ne se valent pas. J’en ai trouvé plusieurs trop court avec une conclusion trop rapide tombant à plat comme avec les étrennes. Mais globalement, c’est surtout l’humour qui m’a moins fait rire. Le chapitre où Tatsu se fait une battle façon rapeur m’est complètement passé au-dessus, ce n’est pas ma culture. Celui de la compétition des costumes d’Halloween m’a semblé un peu vide pour sa part et je n’ai pas vu l’intérêt de celui où il est malade. C’est dommage parce qu’en dehors de ça, il y a de belles trouvailles comme l’attaque des ménagères de plus de 50 dans le restaurant – buffet à volonté qui faisait remake de L’Attaque des titans. Excellent !

Ce fut donc une lecture en dents de scie. Tous les chapitres n’ont pas fait mouche avec moi malgré la bonne volonté de l’auteur à la fois de diversifier son titre tout en restant sur les mêmes bases qui ont fait son succès. Mais on ne peut pas tout aimer, parfois il y a des types d’humour ou des blagues qui ne fonctionnent pas sur nous, ce fut le cas pour moi ici.

Tome 6

Nouveau très bon tome de rigolade avec les aventures de Tetsu, l’homme au foyer, et son voisinage. Après un tome en deçà, l’auteur retrouve l’humour qui avait fait mouche avec moi depuis le début.

Déjà, quand on enlève la jaquette, on a assiste à une scène surréaliste mais tordante sur l’association des femmes au foyer que nous allons découvrir dans ce tome. Ça donne le ton. Les autres chapitres sont à l’aune de cela, avec une recette qui se répète inlassablement, reposant sur le décollage du passé de Tatsu avec son présent, l’auteur parvient à imaginer tout plein de situations hilarantes. S’il y parvient si bien, c’est parce qu’il a une belle galerie de personnages récurrents auxquels il ne bref que quelques nouvelles figures à chaque fois mais toujours en soutien des anciens, du coup on n’est jamais perdu et tout s’étoffe.

Après, c’est un manga humoristique, reposant sur la répétition et des chapitres courts, format dont l’auteur ne s’éloigne jamais mais qui reste efficace grâce à des chutes toujours aussi bien trouvées. Dans ce tome, tout est très drôle, que ce soit quand il aide une autre femme au foyer à faire des économies, quand il découvre l’association des 8 dragons, quand il doit récupérer un dvd gratuit pour sa femme ou qu’il l’aide à obtenir un goodie rare, quand il retrouve un ami fan de chien, quand il aide un ami à renouveler sa carte de restaurant, quand il en amène un autre chez le dentiste ou quand il a une insomnie.

La voie du tablier reste pour moi une valeur sûre en terme de manga humoristique qui me fait presque à chaque fois passer un très bon moment de rigolade avec des situations de la vie quotidienne présentée de telle façon que c’est complètement barré et donc hilarant. J’adore !

Tome 7

Décidément, ce titre humoristique porte mal son nom, ça ne devrait pas être « la » voie du tablier mais « les » voies tant l’auteur nous propose d’aventures toutes plus folles les unes que les autres autour de cet homme dont toutes les voies le conduisent finalement à son foyer.

Dans ce 7e opus déjà, Kousuke Oono se lance dans des chapitres autour d’un thème non exploité encore : la culture japonaise. On se retrouve ainsi avec des aventures remplies de particularités fortes de ce pays tels que les bars à chats, les typhons, les sentaï (ces super-héros masqués), les boissons à base de riz fermentés ou encore les haïkus. Je ne sais pas si c’est fait exprès mais c’est le premier tome où ça me frappe autant. J’ai bien aimé, cela permet de revisiter ces topos avec humour.

L’amour de l’auteur pour les animaux, comme il l’annonçait, est également très présent dans ce tome, qu’ils soient chats ou chiens. C’est mignon tout plein de voir ces gros durs tout gaga pour eux. Cela permet de continuer à explorer le quotidien de ces personnages atypiques et de briser le plafond de verre par le décalage entre leur métier ou passé de malfrats et leur coeur tout doux, tout fondant. Voir la femme d’un grand boss fondre devant un chat lui rappelant son mari, ou un boss actuel devenir gâteux devant une robe pour chien offerte pour l’anniversaire de ce dernier, c’est poilant !

L’auteur élargit donc sa gamme de blagues et les personnages sur qui cela porte. Tatsu est toujours le personnage principal et la plupart du temps l’élément déclencheur, mais il n’est plus seul. Je regrette un peu, encore une fois, que sa femme soit si peu présente car c’est un atout charme excellent pour nous amuser. Mais je suis ravie de découvrir ses connaissances dans leur quotidien également. L’auteur conserve avec eux l’excellent sens du rythme et de la chute qu’on lui connaît.

Ainsi même si une certaine routine s’installe et qu’on a bien compris le concept que l’auteur décline à l’infini, la série continue de me séduire et de m’amuser surtout. J’aime suivre les aventures quotidiennes farfelues de Tatsu et ses connaissances. L’ambiance encore plus japonaise ici était dépaysante. J’aime que l’auteur continue de se renouveler tout en suivant la ligne qu’il a définie.

Tome 8

La voie du tablier est une chouette série humoristique mais malheureusement, et on le sent depuis quelques tomes déjà, elle s’essouffle. Et alors que l’éditeur tente peut-être vainement de relancer notre intérêt avec une version collector de ce tome plus que dispensable, moi j’ai totalement décroché lors de ma lecture.

D’habitude je souris et m’amuse toujours du décalage provoqué par le passé de yakuza du héros et sa nouvelle vie d’homme au foyer, mais cela n’a pas été le cas ici. J’ai trouvé la plupart des chapitres poussifs, avec beaucoup trop de caméos différents, beaucoup trop de WTF et beaucoup trop d’histoires très différentes. Je ne saurais en dire plus sur le pourquoi mais ça n’a pas fonctionné…

Les seules histoires qui m’ont un tant soit peu amusée, sont celle où il a neigé et celle avec la jeune policière pour les cours de prévention. Il y avait une construction et une chute qui m’ont beaucoup amusée à chaque fois avec un vrai plaisir à voir Taku dans ces situations.

Les autres furent assez pénibles à suivre, trop d’animaux dont je n’ai rien à faire, trop de personnages secondaires également qui seront aussi vite oubliés qu’introduits, de la soeur faisant des donnuts, en passant par le hamster ou le chef voulant ses pousses de bambous. Même les chapitres avec ses amis et sa femme comme lors de la séance de ciné où personne n’arrive à choisir un dvd ou la séance de sauna / camping qui tourne mal n’ont pas trouvé grâce à mes yeux et je ne parle pas des chapitres avec les zombies sortant de nulle part, ni du chapitre « bonus » sur les policure, totalement dispensable et ne justifiant vraiment pas les 2€ qu’on paye en plus… C’est assez médiocre.

Bref, le concept a fait son temps, si l’auteur ne parvient pas à mieux se renouveler ou trouver à nouveau des histoires dans la même veine qu’avant, ça risque de tourner court pour moi. Je suis assez déçue V.V

Tome 9

Ça y est, même si certains chapitres et les intentions de l’auteur sont bonnes, l’ennui me guette. J’ai eu beaucoup de mal à lire l’ensemble du tome qui est pourtant bien fin…

C’est simple la recette est toujours la même mais au bout de 9 tomes et avec des sorties pourtant espacées, je trouve ça lassant. L’auteur se repose sur ses lauriers et n’innove plus, il ne fait que se répéter sauf que l’ensemble est assez fade. On se retrouve ainsi plusieurs fois au supermarché dans ce numéro ou encore on rencontre plusieurs de sales bêtes d’intérieur. Les personnages sont aussi toujours les mêmes, pas d’ajout notable cette fois. L’humour repose toujours sur le même préjugé de départ, il n’y a pas d’évolution. Cela donne une lecture bien trop prévisible.

J’ai donc sauté plusieurs passages et j’ai moins ri à ceux que j’ai apprécié que dans les premiers temps. Seul chapitre qui m’a vraiment donné le sourire : celui de la petite n’aimant pas les légumes, elle était effrayante cette gosse ! J’ai aussi gentiment aimé quand il aide une patronne yakuza à fabriquer un chat en feutre et les trois planches du fan de Policure dansant devant la vitre sans teinte d’un café sont poilantes aussi, mais ça s’arrête là ^^!

Je n’ai donc pas grand-chose à dire sur ce tome. Je ne sais pas si tous les fans se lassent comme moi, mais c’est bien mon cas et je m’interroge désormais sur ma poursuite de la série que je pourrais parfaitement arrêter ici sans regret. Décidément les séries humoristiques, les séries de tranche de vie culinaire et moi, ça commence à faire deux…

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20 commentaires sur “La voie du tablier de Kousuke Oono

  1. Ce manga me donne bien envie, même si les manga humoristique ne sont pas vraiment mes lectures préférées, et comme tu le dis sur les chapitres qui ont presque ce côté « anecdotique », j’ai peur que ça me lasse :/ A voir par la suite, et j’irai me feuilleter ça en librairie 😉
    Merci pour la chronique ! 😀

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    1. Après comme le premier tome est quand même sympa et que le prix est tout doux, je te le recommande, même si c’est un peu anecdotique, ça fait pas de mal parce que tu peux lire juste celui-là et t’arrêter ensuite sans mal 😉

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  2. Je suis totalement d’accord avec ton avis. Je l’ai lu il y a 2 jours. Otaku otaku partait du même principe mais en est rapidement sorti pour offrir une évolution et un regard plus intimes sur les personnages et leurs lien. Ce n’est certes qu’un tome 1, mais j’aimerai beaucoup que La voie du tablier emprunte le même chemin.

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    1. Lol tu m’as bien fait rire
      Mais je comprends que tu veuilles savoir avant de te lancer. Après tu verras, c’est pas la série du siècle mais c’est un très bon divertissement, très efficace avec lequel on a une bonne tranche de rigolade 😀

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      1. Bah oui que je sache si je le laisse dans ma wishlist. Si c’est sympa à lire une fois, ce sera déjà pas mal. J’espère qu’il réussira à me faire rire (et non énervée et soupirée lool)
        Si ça marche pour toi, c’est un bon indicateur pour moi 🙂

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    1. Merci, c’est gentil. J’aime bien parler de mes avis au fil des tomes, ça montre l’évolution et ça m’aide moi à me rappeler du précédent quand ça remonte ^^

      C’est effectivement une chouette bande qu’on a appris à apprécier maintenant. Quels joyeux loustics !

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