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Elle ne rentre pas, celle de mon mari de Yukiko Gotô et Yuki Kodoma

Titre : Elle ne rentre pas, celle de mon mari

Auteurs : Yukiko Gotô et Yuki Kodoma

Éditeur vf : Le Lézard Noir

Années de parution vf : 2020-2022

Nombre de tomes vf : 5 (série terminée)

Histoire : Sachiko Torii a quitté sa campagne natale pour aller à l’université. Elle emménage dans une résidence où elle fait la connaissance de Shin Kuramoto, étudiant en deuxième année dans le même établissement. D’un naturel sans gêne, il prend rapidement l’habitude de passer du temps dans la chambre de Sachiko. Celle-ci est troublée et en même temps attirée par son comportement imprévisible. Rapidement, ils commencent à sortir ensemble. Mais la nuit venue, alors qu’ils s’apprêtent à faire l’amour, le couple va faire face à un problème de taille…

Mon avis :

Tome 1

Avec un titre pareil, ce manga ne pouvait qu’attirer l’attention, en tout cas ça a marché avec moi. Et sous sa couverture aux couleurs toutes douces, au rose un peu culcul et avec un héroïne un peu clichée qui court vers son homme…, c’est en fait un titre très actuel que nous propose le Lézard noir où l’on parle ouvertement de sexualité.

Elle ne rentre pas, celle de mon mari est l’adaptation d’un roman autobiographique de Yuki Kodoma où elle parle de sa vie sexuelle avec son compagnon et d’un problème qu’elle rencontre : le vaginisme, c’est-à-dire quand le pénis de l’homme ne peut pas rentrer dans le vagin de la femme parce que celui-ci est beaucoup trop étroit à cause de la contraction des muscles pelviens. C’est un problème sexuel que rencontre de nombreuses femmes et qu’il fait bon de voir abordé ici, comme ce fut le cas la saison 2 de Sex Education.

Pour se faire, la mangaka et l’autrice mettent en scène une toute jeune étudiante, qui à peine arrivée dans son nouveau lieu de vie se lie d’amitié avec l’un de ses voisins, un jeune homme un peu étrange et sans gêne, qui va régulièrement venir squatter chez elle. Ils vont petit à petit se mettre ensemble mais lors de leur première fois, ils rencontrent un problème de taille qui les empêche d’aller au bout et cela continuera par les suites, les obligeant à avoir d’autres types de relations sexuelles.

Au début, j’étais très contente de voir un objet littéraire abordant ce sujet car c’est quelque chose d’assez méconnu et que ça m’intriguait. Je voulais en apprendre plus. Sauf que pour le moment, on reste très très en surface avec le sujet. Peut-être est-ce dû au caractère pudique des Japonais mais au final l’autrice ne nous apprend rien sur le sujet, on sait juste qu’ils n’arrivent pas à le faire. Il faut attendre la fin du premier tome pour que Sachiko cherche une alternative pour peut-être pouvoir avec un rapport avec pénétration avec Shin. Du coup, j’ai eu l’impression d’avoir été un peu trompée.

Pour autant, le titre se laisse très bien lire. On sourit devant la naïveté de cette héroïne, qui a si peu d’expérience avec les autres et les garçons en particulier. On peut rire également du sans gêne de Shin et de sa passion pour les survêt’. L’autrice veut présenter une relation qui se met naturellement, mais ce n’est pas tout à fait ce que j’ai ressenti. J’ai trouvé au contraire que c’était assez maladroit. Cependant, j’ai aimé leurs interactions dans cette petite pension qui n’ont pas été sans me rappeler Maison Ikkoku.

En plus, on ne perd pas de temps, l’histoire avance vite et les années défilent. On n’est pas avec un couple qui mettrait 3 ans à se tenir la main ou s’embrasser, ici ce sont de jeunes adultes et c’est de sexualité dont on va parler. Ils se mettent donc rapidement en couple et en arrive à vouloir coucher ensemble très vite. Quand ça ne marche pas entre eux, Shin tente de l’amener ailleurs et quand ça ne change rien, il lui propose d’autres types de relations. J’ai apprécié de voir un héros qui ne la quitte pas pour ça, et en même temps, j’ai été gênée de voir qu’on ne pense ici qu’au soulagement du plaisir/désir masculin et non aussi à celui de la femme. Ce n’est jamais abordé. D’ailleurs, quand Sachiko se rappelle sa première fois, on commence à deviner qu’elle pourrait être l’origine de son vaginisme et l’absence de plaisir féminin voire une blessure intime n’y sont pas étranger.

Du coup, je m’interroge. L’autrice va-t-elle développer l’aspect féminin de leur relation. Va-t-on en rester longtemps à ce statu quo ? Est-ce que la tentative de Sachiko va réussir ou vont-ils devoir trouver autre chose ? Vont-ils finir par aller consulter un(e) spécialiste ? Je suis très curieuse de voir la tournure que l’histoire va prendre car pour moi, elle a à peine démarrée pour l’instant.

Les dessins de Yukiko Gotô sont doux et plein de rondeurs, mais surtout elle joue d’énormément de métaphores graphiques pour mettre en images les problèmes sexuels des héros. C’est très amusant et vraiment parlant. Du coup, ce n’est jamais scabreux, loin de là. Ça aide à ressentir énormément de bienveillance envers Sachiko et Shin.

Ainsi même si j’attendais peut-être plus d’éléments sur la vaginisme dans Elle ne rentre pas, celle de mon mari, ce fut quand même une lecture agréable, qui m’a donné envie de découvrir la suite pour voir comment la relation des deux héros allait évoluer et si la question allait être approfondie. L’autrice a su rendre les personnages sympathiques malgré les petits bémols relevés. Un titre intriguant qui est fidèle à sa réputation.

Tome 2

Alors que le premier tome m’avait un peu laissée sur ma faim, ce deuxième opus plus tourné vers une critique sociétale sur la condition des femmes dans les couples japonais, m’a beaucoup plu. Je me suis beaucoup plus immergée dans le récit, j’ai ressenti bien plus d’émotion et une en particulier : la rage.

En effet, l’héroïne porte tout sur ses épaules. Elle est dans un couple où elle fait tout et en prime, elle se retrouve avec une carrière professionnelle toxique à souhait dans laquelle elle ne reçoit aucune aide. C’est terrible. Yukiko Gotô ne nous épargne vraiment rien.

Son mari est une loque détestable. Désolée, mais je le trouve à vomir pour le moment, ce type. L’autrice croque à merveille l’évolution de ce couple, la routine dans laquelle il s’installe et les tentatives que fait Sachiko pour améliorer leurs relations. C’est vraiment triste de la voir essayer à ce point. La scène où elle veut absolument coucher avec lui malgré son vaginisme est terrifiante ! La suite est tout autant difficile. Sachiko s’enferme dans le silence, la soumission et le mal être. On la voit au fil des ans supporter le silence de son mari, ses mensonges et tromperies, ses paroles et actes rabaissantes et son ignorance, ce qui est peut-être le pire. J’ai vraiment eu mal pour elle.

En parallèle, j’ai été choquée par le portrait tellement réaliste de la jeune enseignante qu’est Sachiko. Certes cela a lieu au Japon, mais cela pourrait parfaitement être transposé en France. On voit une jeune enseignante motivée qui se fait démolir par les critiques de parents malveillants qui croient connaître son travail mieux qu’elle justement parce qu’elle est jeune. On voit également une enseignante non épaulée par ses collègues, voire même enfoncée par ceux qui le refourguent les pires tâches à faire. Aucun ne voit sa détresse ou du moins tout le monde ferme les yeux. C’est terrible. Il en va de même pour cette petite qu’elle essaie d’aider comme elle peut avec ses petits moyens sans y parvenir. Tout ça sonne très juste pour l’enseignante dans une école difficile que je suis.

Heureusement au milieu de toutes ces difficultés, il y a une héroïne positive, qui fait de son mieux, qui essaie, qui n’abandonne pas. Je trouve vraiment Sachiko lumineuse et libératrice parfois. Oui, en ce moment tout est très dur pour elle au boulot et à la maison, mais quand je vois sa force de caractère, j’ai espoir qu’elle s’en sorte et fasse « payer » en quelque sorte à ceux qui la font tant souffrir. J’espère que l’autrice aura le courage de la faire se confronter à son mari et à ses supérieurs.

Ainsi, avec ce tome Elle ne rentre pas, celle de mon mari a pris une nouvelle dimension bien plus sérieuse encore et moins restrictive que dans ses débuts. L’autrice propose ici un discours chocs sur les femmes en couple et les jeunes enseignantes. C’est dur, ça fait mal, mais c’est nécessaire. Merci au Lézard noir de l’éditer !

Tome 3

Kodama et Yukiko Gotô continuent la montée en gamme avec un tome qui se rapproche de ce que peuvent faire un Inio Asano ou un Shûzô Oshimi, c’est-à-dire une histoire violente, crue et dramatique.

Ce tome, c’est celui de la descente en enfer. L’héroïne ne sent de plus en plus mal dans sa peau de femme et dans sa peau d’instit’. Ce qu’on avait déjà pu apercevoir dans le tome précédent prend une toute autre ampleur dans celui avec un quasi abandon de son mari et un zoom encore plus fort sur elle. J’ai été profondément touchée par sa détresse. Étant mois-même dans la profession et ayant aussi eu des classes très difficiles, je comprends parfaitement les sentiments qui ont pu la traverser puisque j’ai pu en partager certains. Il y a donc une grande justesse dans l’écriture de ce passage.

En revanche, j’ai été un peu choquée et dérangée par le palliatif qu’elle trouve à tout ce mal être. Le fait de la faire tomber de manière assez sordide quand même, et pas assez critiquée à mon goût, dans une forme de dénigrement total de son corps et de son âme était terrible. Je comprends sa détresse. J’ai été touchée par sa recherche d’un discours différent, d’hommes lui disant que non tout n’est pas de sa faute, mais la forme est un peu trop glauque pour moi. On tombe dans la veine d’oeuvres sociétales à la Asano ou Oshimi dont personnellement je ne suis pas fan, mais c’est vraiment une question de sensibilité, parce que c’est très bien raconté autrement.

Ses problèmes de sexe qui sont au coeur de l’histoire se mélangent avec ses problèmes professionnels, ce qui est une riche idée pour élargir l’histoire. J’ai apprécié de voir le problème traité différemment ici et de voir les auteurs offrir une nouvelle voie. Cependant, j’ai trouvé que ça manquait un peu de consistance et d’explications. J’espère qu’on en aura prochainement sinon c’est bien bizarre tout ça.

Le seul défaut de ce tome est pour moi sa conclusion. Elle a un côté trop idyllique si on peut dire. Je ne suis pas du tout d’accord avec ce discours qui dit que finalement cette classe si horrible ne l’est pas tant que ça. Mon oeil ! Arrêtez de faire croire que les enfants sont par nature gentils et qu’ils ont tous un bon fond. Non, il existe des classes qui sont horribles, ingérables et ceux peu importe l’enseignant, peu importe le moment de l’année. C’est mon petit cri du coeur perso pour l’avoir vécu. De la même façon, tous ces rendez-vous sordides se finissent un peu trop bien et je n’ai pas trouvé la dernière rencontre très crédible…

Ce nouveau tome n’a vraiment pas été une lecture facile, elle m’a profondément remuée et dérangée. Elle a flirté avec la limite de ce que je peux supporter de lire car le tournant sordide pris n’est vraiment pas à mon goût, malgré une dimension sociétale coup de poing assez juste. En revanche, j’ai beaucoup aimé le traitement plus global de l’héroïne, le cheminement qu’on lui fait prendre et les réflexions sur sa vie professionnelle. C’est un titre surprenant qui prend des directions inattendues à chaque fois pour moi. J’aime ça.

Tome 4

Nouvelle chronique sombre et âpre de ce triste couple de jeune japonais qui ne parvient pas vraiment à faire l’amour. J’ai trouvé ce tome d’une profonde tristesse et d’un grand malaise.

Cela fait maintenant 4 tomes que l’on suit la triste vie de Sachiko et je dois avouer que je commence à trouver le temps long. Au début, l’autrice se renouvelait mais maintenant elle tourne un peu en rond et le fait de n’avoir encore et toujours que la version de la femme dans ce couple dysfonctionnel, me dérange et me chagrine.

Après n’avoir pas réussi à rester enseignante, Sachiko tombe peu à peu dans la dépression. Son vague à l’âme est parfaitement retranscrit, ça il n’y a pas à dire. Tout y passe de l’inactivité à la maison, des paroles malheureuses des gens qu’elle croise, de la difficulté à se rendre sur son ancien lieu de travail, au ressassement de ses traumas d’enfance, à sa relation de couple inexistante, rien ne nous est épargné, même pas la maladie. En effet, la pauvre développe en plus une terrible maladie auto-immune probablement à cause de tout ce stress qu’elle emmagasine. Elle a donc une vie vraiment misérable et c’est assez terrible à suivre. Personnellement, ce n’est absolument pas le genre de thématique qui m’intéresse dans mes lectures, du coup, je me suis ennuyée comme un rat mort…

Du côté de son couple, il n’y a guère d’évolution. D’ailleurs, on n’en parle que brièvement, quand de nulle part ou presque sort une envie d’enfant. Bien sûr, au vu de leur situation sexuelle et de la santé de Sachiko, ça n’aboutit pas. Nouveau drame. Mais surtout, ils ne communiquent absolument pas. Ils se contentent de vivre l’un à côté de l’autre sans faire attention à l’autre, ce qui est un bien triste portrait de la société moderne.

Le développement final autour des problèmes récurrents de leur vie sexuelle m’a fait lever les yeux au ciel. Pourquoi tant de répétition et pourquoi accepter tout cela ? Ils ne se parlent pas, n’ont pas de gestes tendres, n’arrivent pas à se donner de plaisir. Monsieur va potentiellement voir des call-girls. Pourquoi continuer ? Je ne comprends absolument pas cette résilience et même si tout cela est bien croqué, en fait ça me met en rage vis-à-vis de l’héroïne.

La lecture de ce tome me laisse donc partagée. Je trouve que l’autrice à le talent de croquer avec justesse la tristesse de ce pseudo-couple. Mais je m’ennuie comme un rat mort en lisant sa prose et je n’arrive plus à avoir de l’empathie pour cette héroïne qui subit sa vie et qui est la seule dont on entend la voix. J’ai besoin d’un vrai électrochoc dans le dernier tome pour me dire que j’ai bien fait de suivre cette série…

Tome 5 – Fin

Chapitre final de l’adaptation de ce roman au titre si osé. Je me suis parfois perdue en chemin, trop mal à l’aise face à la détresse non entendue de l’héroïne, mais j’ai retrouvé mon chemin tout comme elle dans ce dernier tome à la conclusion si touchante.

En adaptant ce roman, Yukiko Gotô s’est lancé un défi et nous en a lancé un aussi. Avec ce dernier volume à la couverture si tranquille, elle boucle la boucle et achève le parcours de ses personnages avec émotion, leur offrant une belle porte de sortie tendre et réaliste pourtant.

Enfin dans ce dernier volume, j’ai eu l’impression de vraiment entendre la voix de Shin, le mari, que je décriais tant depuis le début. Certes, ce n’est pas quelqu’un de très attentif et à l’écoute de sa femme. Il a une vision très masculiniste et passéiste de leur relation, mais quand il entend ce qu’elle a à dire, il en prend compte et ça change tout. On passe alors d’une relation de couple basé sur une vie sexuelle impossible, à une vie de couple platonique mais bien plus apaisée, et on le devient aussi.

J’ai adoré ce revirement inattendu à ce stade qui a permis de tirer un trait sur l’un des aspects qui me dérangeait le plus, pour enfin parler d’autres éléments de leur couple. Ainsi la question du sexe et des enfants est réglé. D’ailleurs, c’est assez tragique que pour en rajouter une couche, l’héroïne finisse ménopausée à même pas 40 ans… mais bon.

J’ai donc découvert Shin, ce mari un peu nul, mais ce bon ami et surtout très bon professeur vraiment attentif à ses élèves. Si je regrette le côté bien trop soumis de sa femme Sachiko, qui est heureuse de jouer à la bonne petite épouse avec lui, ce que lui n’avait pas fait et ce qu’elle lui pardonne un peu trop facilement en se reprochant tout… En revanche j’ai apprécié de les voir aussi soudé dans leur lutte pour le bien être des enfants / élèves qu’ils ont. Ça fait plaisir de voir des gens aussi investis.

Et investie, Sachiko le sera aussi dans l’aboutissement qu’elle trouvera à tout ce qu’elle a vécu. Qui se serait attendu à ce qu’elle ose coucher toutes ses mauvaises expériences sur le papier et que ça débouche sur un livre vendu à des milliers d’exemplaires qui permettrait enfin de parler au grand jour de ce problème si intime ? J’ai adoré la mise en abîme proposé par surprise ici par les autrices. Je ne m’y attendais pas et une nouvelle fois cela a permis de montrer une belle relation apaisée entre le mari et la femme.

Elle ne rentre pas celle de mon mari aura ainsi été à la fois une lecture instructive sur un problème méconnu et une lecture pleine de réflexion sur la vie de couple. Si je ne cautionne pas pas mal de choses qui ont eu lieu dont Sachiko fut le plus souvent victime et non son mari, j’ai été interpellée par la vision normée du couple que la société impose avec rapport sexuel, enfant et tout le tralala, de même que la pression mise sur les jeunes travailleurs par la société et leur famille, sans aide aucune de leur part. Les autrices offrent une vision bien sombre de la vie à un moment donné, heureusement elles offrent aussi au cours de ce parcours de vie d’une femme bien pugnace, une porte de sortie surprenante et émouvante, où la tragédie deviendra source de bonheur et où un couple d’amis remplacera volontiers avec plus de joie un couple d’amants. Une belle leçon de vie.

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12 commentaires sur “Elle ne rentre pas, celle de mon mari de Yukiko Gotô et Yuki Kodoma

  1. Merci pour cet article, car je n’arrivait pas à trouver d’avis qui expliquait clairement le sujet du manga, car je me doutais qu’il était question de sexualité, mais ça restait vague.
    Je vais attendre tes avis sur les tomes suivants car ça pourrait fortement m’intéresser !

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    1. Je ne suis pas surprise que le titre t’intéresse mais vu le prix des titres du Lézard, je comprends que tu aies pu hésiter.
      Il faut croiser les doigts que ça ne dure pas trop longtemps pour qu’on puisse se jeter sur nos libraires xD

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  2. avec moi le titre a eu l’effet inverse, j’aimais bien la couverture mais le titre mais pas du tout fait envie. A te lire je me dis que c’est pas une lecture pour moi. ça me ferait trop péter un câble de voir l’héroïne rester avec son mari dans ces conditions. Dommage parce que ça avait l’aire intéressant sur les deux premiers tomes

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    1. Si tu ne le sens pas, il faut mieux éviter effectivement surtout vu l’investissement, mais peut-être que tu pourras tester en médiathèque, parce qu’il y a un côté chronique sociale assez intéressant quand même ^^

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  3. Bonjour, j’ai une question qui me taraude : mais souffre-t-elle vraiment de vaginisme ?? J’avoue que cela me questionne car, bien sûr le mot n’est jamais évoqué, mais en plus dans le T3 il semble qu’elle arrive à avoir des rapports sexuels avec pénétration… Un avis de quelqu’un ? Merci 🙂

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