Visionnages de la semaine 2024 #21

Comment dire ? J’ai eu la main un peu malheureuse cette semaine ^^! Chaque objet que j’ai touché, ou presque, fut une expérience moyenne ou décevante, ça arrive, ce n’est pas de bol. J’espère que avoir la main plus heureuse la semaine qui vient, surtout que l’évasion va être indispensable pour cette dernière ligne droite au boulot. Heureusement, j’ai eu de bonnes recommandations qui devraient m’aider à traverser cette nouvelle semaine. Et vous, vous avez été plus chanceux ?

 Bonne fin de weekend à tous !

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 Merlin l’enchanteur de Wolfgang Reitherman (Disney) – 1963

Toujours dans les années 60, après Les 101 Dalmatiens, place à Merlin, un Disney peut-être moins connu, qui a moins bien vieilli aussi, mais qui proposait de revisiter un classique fondateur de l’imaginaire. On ne va pas se mentir, j’ai eu beaucoup de mal… J’aime, comme les films de ces années-là, le travail singulier sur les décors qui se détachent vraiment des personnages tels des tableaux. J’aime les personnages et le côté caricatural de ceux-ci. J’aime tout ce que le film préfigure pour d’autres Disney comme La petite sirène. Mais la narration est catastrophique ! Ceux qui ont fait le film s’appuient trop sur l’humour de leurs personnages et l’histoire est bien vide. On dirait un patchwork de scènes mis côte à côte. Franchement je me suis souvent ennuyée et j’ai en prime trouvé ce héros bien naïf et fade, pour ne pas dire benêt. Heureusement que Merlin et Archimède étaient là… Ainsi outre quelques trouvailles graphiques et bons jeux de mots, il ne restera pas dans les annales.

Depuis longtemps, l’Angleterre est plongée dans la guerre. Au centre de Londres, une épée magique, scellée dans une enclume, attend qu’un être d’exception vienne la retirer. Celui qui réussira cet exploit deviendra roi. A quelques lieues de là, le jeune Arthur, un orphelin surnommé Moustique, travaille dans les cuisines de Sire Hector. Au cours d’une partie de chasse avec Kay, le fils de son maître, il échoue dans la cabane de Merlin l’enchanteur. Avec son compagnon Archimède le hibou, le mage décide d’entreprendre son éducation…

Adapté du livre La Quête du roi Arthur, tome 1 : Excalibur, l’épée dans la pierre de Terence Hanbury White

Jurassic Park de Steven Spielberg (1993) avec Sam Neill, Laura Dern, Jeff Goldblum…

Heureusement que j’ai pu compter sur le revisionnage de ce film culte pour relever un peu le niveau de la semaine. Certes il a vieilli mais la fan de dinos en moi qui l’a vu alors qu’elle était petite rêve toujours autant devant le fantasme de ce parc ayant ressuscité ces anciennes créatures. J’ai toujours des frissons et ce même si je trouve que cela a un côté un peu kitch et humoristique désormais, et que les effets spéciaux ont un peu vieilli. Mais ça reste toujours mille fois mieux que les suites actuelles sans âme et avec un discours fort lisse. Vive Spielberg !

Le PDG d’une puissante compagnie, John Hammond, parvient à donner vie à des dinosaures grâce au clonage et décide de les utiliser pour en faire un parc d’attraction sur une île. Avant l’ouverture, il fait visiter le parc à un groupe d’experts pour obtenir leur aval. Pendant la visite, une tempête éclate et un informaticien corrompu par une entreprise rivale en profite pour couper les systèmes de sécurité afin de voler des embryons de dinosaures. Les dinosaures sont alors livrés à eux-mêmes.

Adapté du livre Jurassic Park / Le parc jurassique de Michael Crichton

Rebel Moon, partie 1 : Enfant du feu de Zack Snyder (2023) avec Sofia Boutella, Michiel Huisman, Ed Skrein…

Comment dire, malgré ses allures de série B côté casting et effets spéciaux, je trouvais que ça ne partait pas trop mal. J’ai crié victoire trop tôt. En dehors de l’échec technique, le scénario outre le fait de ne pas être original, semble une accumulation de clichés qui pop souvent de nulle part et forment un tout sans grande cohérence, à l’image du groupe qui est formé à la fin. C’est un patchwork assez indigeste. Je préfère donc garder mon temps pour lire ou voir un vrai bon divertissement de SF que de poursuivre avec sa suite ^^!

Menacée par les armées d’un tyran, une paisible colonie installée sur une lune lointaine place tous ses espoirs de survie entre les mains d’une mystérieuse villageoise.

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InuYasha (2000) – Episodes 102 à 108

Ce fut encore plus la débandade cette semaine je l’avoue… Bon après, d’habitude je regarde le matin et à ma pause déjeuner mais j’ai dû travailler toute la semaine sur ce créneau donc impossible de regarder le moindre épisode T.T Et comme la saison 4 dont ils sont tirés n’est définitivement pas ma préférée… Même la nouvelle ennemie toute droit inspirée de l’Habitant de l’infini et ses acolytes gros bras, façon Ken le survivant, ne m’ont pas réveillée, c’est dire. Je m’ennuie vraiment cette saison, ça manque d’enjeu et d’antagoniste fort.

Il y a bien longtemps, dans un Japon féodal effacé de notre Histoire, les Hommes cohabitaient avec les Démons. Il existait alors un joyau (le joyau des quatre âmes) qui une fois en sa possession accroissait de façon extraordinaire les pouvoirs de tout démon. Ce joyau était gardé par une prêtresse humaine possédant de pouvoirs suffisamment grands pour repousser les démons. Kikyo, la prêtresse, tomba alors amoureuse d’un demi-démon, InuYasha, qui voulait s’emparer du joyau pour devenir un véritable démon, mais n’en avait pas vraiment la force. Ils entre-tuèrent dans des circonstances éclaircies plus tard. Quelques siècles après, à notre époque, une jeune lycéenne, Kagome, tombe dans un puits du temple familial. Grâce à un fragment du joyau qui était incorporé dans son corps, elle passe dans l’époque d’InuYasha, 50 ans après qu’il ait été empenné à un arbre par l’une des flèches magiques de Kikyo. Son fragment de joyau attirant un démon, elle libère InuYasha pour qu’il l’aide à le vaincre. Kagome découvre peu à peu qu’elle détient les pouvoirs de Kikyo, et va rencontrer des tas de gens – amis ou ennemis – attachants ou non, mais toujours en rapport avec le joyau des quatre âmes.
Adapté du manga Inu-Yasha de Rumiko Takahashi

Maxton Hall – Saison 1 Episodes 1 à 6 *Fin de la saison*

Ayant besoin de douceur, j’ai écouté Marie de Bangarangdaily sur Instagram pour cette série 100% guimauve et romance dans une école élitiste, avec un classique ennemis to lovers entre un riche héritier et une modeste boursière. Il faut aimer les bons gros clichés, les personnages masculins à claquer, les héroïnes qui pardonnent en un tour de main, les relations prof-élève, les parents toxiques et j’en passe. J’avoue qu’au début je trouvais ça mignon mais très vite tout le drama et les réactions surréalistes des personnages furent de trop pour moi. En revanche, j’ai beaucoup aimé les relations de l’héroïne et sa famille comme me l’avait vanté, Marie. C’était adorable de les voir s’entendre si bien et d’être d’une famille modeste mais pas pauvre pauvre non plus, ni avec d’énormes casseroles. Je regarderai quand même la suite par curiosité ^^!

Lorsque Ruby est involontairement témoin d’un secret explosif à l’école privée Maxton Hall, l’arrogant héritier millionnaire James Beaufort doit faire face à la vivacité d’esprit de l’étudiante pour le meilleur et pour le pire : il est déterminé à faire taire Ruby. Leur échange passionné de mots déclenche inopinément une étincelle …

Adapté des romans de la saga Maxton Hall

 Bons visionnages à vous aussi. A la semaine prochaine.