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Flying Witch de Chihiro Ishizuka

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Titre : Flying Witch

Auteur : Chihiro Ishizuka

Éditeur vf : Nobi Nobi

Années de parution vf : Depuis 2017

Nombre de tomes vf : 11 (en cours)

Résumé du tome 1 : À son entrée au lycée, la jeune Makoto quitte la région de Tokyo pour le nord-est du Japon. Hébergée chez ses cousins Kei et Chinatsu, elle découvre les petits plaisirs d’une vie plus proche de la nature, où le temps semble s’écouler plus doucement. Mais le quotidien à la campagne ne s’annonce pas de tout repos pour autant, car Makoto est aussi une apprentie sorcière un peu étourdie !

Mes avis :

Tome 1

Flying Witch est le premier manga que je lis chez Nobi Nobi. Je n’avais pour l’instant découvert que des albums jeunesse chez eux. Pour l’occasion ils se sont associés avec Pika et cela se sent dans la fabrication très soignée du livre.

Dans un premier temps quand j’ai ouvert ce titre, j’ai eu un peu peur de ne pas aimer. Je trouve en effet le dessin assez pauvre et trop formaté « anime » pour moi. J’ai du mal avec un trait aussi simple et sans personnalité. De plus, les décors sont assez peu nombreux et ça donne souvent des cases bien vides. Aïe, aïe. Mais malgré tout, peu à peu, je me suis laissée apprivoiser par l’histoire de Makoto, une jeune sorcière, partie vivre chez sa tante et son oncle, pour devenir indépendant.

Flying Witch est donc avant tout un titre d’ambiance et non un « beau titre » bien dessiné qui attirera l’oeil. Ainsi, j’ai aimé dès le début le décalage entre les présupposés pouvoirs de Makoto et la vie moderne et sans histoire de ses cousins. On le voit d’autant mieux que sa jeune cousine n’était absolument pas au courant que les sorcières existaient et a été bien surprise. C’était amusant de voir ce décalage se reproduire avec une copine de son cousin. Et puis, par la suite, on voit Makoto s’intégrer dans leur vie quotidienne, aller au lycée, aller faire des courses… Mais il y a toujours des petites touches de magie qui sont le bienvenue comme son familier, le livreur de printemps ou sa grande soeur, sorcière elle aussi. C’est frais et sans chichi. J’ai souvent souri et parfois rigolé devant les situations cocasses dans lesquelles elle se met.

J’ai peut-être juste une petite déception, en plus dessins, c’est qu’il n’y ait pas plus de magie. Makoto n’utilise presque pas ses pouvoirs dans ce tome si ce n’est pas voler brièvement sur son balai et invoquer une nuée de corbeaux. Ça fait peu. De plus, contrairement à ce que je pensais, ça ne fait pas du tout penser à Kiki la petite sorcière de Miyazaki. On a bien une trame de départ identique mais comme personne ne sait que les sorcières existent ça change bien les choses et il n’y a pas non plus la même douceur que dans le film.

Flying Witch reste tout de même un titre frais et sympathique, une sorte de tranche de vie avec une pointe de fantastique, que je suivrai avec plaisir.

Tome 2

Dans ce deuxième tome, on continue à suivre les petites aventures de la vie quotidienne de Makoto. On découvre la vie à Aomori avec elle, que ce soit la cueillette et la cuisine de légumes sauvages ou les fêtes qui s’y déroulent au printemps. C’est mignon tout plein et très instructif mais malheureusement c’est aussi assez plat. On sent très vite que l’histoire, les personnages et même le cadre manque de profondeur. On reste donc avec un titre à ambiance qui a peu d’envergure et qui peut plaire mais très vite lasser également parce qu’il ne s’y passe pas grand-chose. La magie intervient toujours aussi peu sauf à travers les tours de la soeur de Makoto qui bien souvent se retournent contre ceux qui lui avait demander d’y goûter. Je ne sais pas si je vais continuer longtemps la série si le concept n’évolue pas parce que 5 tomes (c’est le nombre qu’il y a actuellement au Japon) sur le même schéma, c’est long…

Tome 3

J’ai retrouvé avec plus de plaisir ce petit manga tranche de vie avec sa touche de fantastique apporté par nos amies sorcières. Si le schéma est toujours le même, il reste agréable. Ici, j’ai apprécié découvrir de nouveaux lieux et personnages. J’ai aimé le concept du salon de thé caché pour les sorcières et les propriétaires sont diablement sympathiques. J’ai aussi aimé le chapitre consacré à la baleine volante qui a autrefois été le siège d’une vraie civilisation à part entière. Si les histoires restent assez décousues les unes par rapport aux autres, j’ai su apprécier les petits moments qu’elles offraient dans ce tome et c’est déjà beaucoup.

Tome 4

Elle est toujours aussi sympa cette petite série même si la plupart du temps les chapitres sont déconnectés les uns des autres. On continue à découvrir des pans de la vie de sorcière de Makoto entre la réalisation de son manteau, sa rencontre avec sa tutrice ou bien l’arrivée d’un nouvel animal magique avec le Lapin-Marin. J’ai bien aimé tout ça. C’est frais et sans prise de tête. C’est aussi mignon tout plein. Entre tout ça, on a aussi droit à des petits chapitres sur la vie quotidienne des japonais comme le cours de cuisine au lycée ou bien la cueillette des fruits dans les champs. Ça respire la bonne humeur et ça fait du bien !

Tome 5

Il n’y a pas à dire, cette série continue à me mettre en joie à chaque tome. Ce ne sont pourtant que des petites histoires du quotidien d’une apprentie sorcière mais c’est tellement rafraichissant. Dans ce tome, j’ai encore une fois aimé les nouveautés de l’univers des sorcières entre le faiseur de pluie, la raie dans la flaque et le mana qui choisi Chinatsu comme maîtresse. C’était aussi attendrissant de voir Makoto jouer les babysitteurs, instructif de la voir réparer une paroi en papier japonaise, amusant de la voir aller pêcher et apprendre à faire des ricochets. Ce sont des moments tout simple mais raconté avec tellement de bienveillance qu’on ne peut qu’apprécier.

Tome 6

Nous continuons à suivre le quotidien farfelu de nos chères sorcières d’Aomori. C’est toujours aussi frais, simple et sans prise de tête, un vrai manga tranche de vie et feel good. Dans ce tome, j’ai apprécié la petite fête au début pour célébrer le premier sort Chinatsu qui est l’occasion pour les autres de se rappeler du leur. C’est doux, chaleureux et vivant à la fois. Le chapitre suivant sur l’arrivée de l’été faisait un petit peu redondant avec celui qu’on avait eu le printemps, si je ne dis pas de bêtises. Ma partie préférée fut celle au centre du volume où les chats volent un peu la vedette de nos chers camarades. C’était amusant de les suivre et ça changeait de lire un chapitre de leur point de vue. En plus, on fait la connaissance d’une nouvelle sorcière un peu sévère au premier abord mais qui va former un joli duo inattendu avec Makoto dans la dernière histoire où l’on découvre encore une nouvelle créature. C’était donc somme toute un nouveau tome sympathique mais ne correspondant pas exactement à la promesse de la couverture.

Tome 7

Soyons honnête, ce tome ne fait en rien avancer une quelconque histoire mais c’était tout de même bien sympathique de suivre encore ces fofolles de sorcières. Leur quotidien est vraiment haut en couleur et la moindre sortie, la moindre rencontre, se transforme vite en aventure loufoque, ce qui m’amuse beaucoup. Dans ce tome, pêle-mêle on a droit à Akane qui cherche un remède Inukai, les filles qui retombent sur le Livreur de l’été et passent une soirée avec lui, la rencontre avec le petit neveu adorable d’Inukai, la découverte de 3 mandragores trop choupis résultats d’une expérience hasardeuse de Makoto et enfin la mise en pratique sur une journaliste d’une fameuse loi pour protéger le secret des sorcières. C’est encore une fois truculent. On pourrait se lasser mais avec sa parution lente, ça fait juste un bon moment de détente dans un univers drôle, frais, léger et loufoque, de temps en temps. J’aime ça, ça change.

Tome 8

D’habitude avec cette série même si il ne se passe pas grand-chose, je passe toujours un joli moment. Là, c’est la première fois que je passe complètement à côté de ma lecture. Je ne sais pas si c’est dû à la période qu’on vit ou si ça vient du titre mais voilà…

J’ai eu le sentiment au cours des 4-5 histoires qui composent ce tome que l’auteur avait un peu perdu l’essence du titre. J’ai n’ai pas su retrouver l’humour et la chaleur qu’il dégage d’habitude avec sa pointe de loufoquerie. J’ai eu le sentiment que l’autrice faisait juste vivre des aventures qui correspondent à un certain cadre attendu ici, mais sans y insuffler l’âme habituelle. C’était étrange.

La première histoire concerne Makoto qui rencontre un mage qui est là pour lui dire à quel type de magie elle appartient. C’est globalement plat et avec un manque d’humour criant, sans parler de la chute qui n’apporte pas grand-chose mais au moins on creuse un tantinet l’univers. Les autres histoires sont bien plus anecdotiques. On a un épisode avec Anzu, ses amies, un fantôme qu’elle rencontre et la découverte de certains chemins de traverses. J’ai aimé l’imaginaire de ceux-ci mais ça s’arrête là. Il est question ensuite de recette de sorcières avec la soeur de Makoto qui revient. Mais à nouveau, je me suis demandée où était passé l’humour habituel… Enfin les deux dernières histoires sont tout à fait oubliables entre un hibou qui attaque Makoto et Kei qui cherche à faire une petite vidéo promo pour son futur club de ciné avec ses copines du lycée, sur fond de volley de Walking Dead. Franchement, je n’en ai pas vu l’intérêt…

D’habitude, on a un mélange d’humour, de folklore, de moments chaleureux entre amis ou membres de la même famille. Ça a quasiment disparu ici et ça m’a clairement manqué. Alors certes ce n’est ni indigeste, ni imbuvable, mais je suis déçue…

Tome 9

Après de long mois d’attente voici le retour de Flying Witch, une série pour laquelle l’attente entre deux tomes ne joue pas forcément contre elle, puisqu’elle n’est constituée que de petites histoires courtes sur le quotidien de nos charmantes sorcières et de leurs amis. Malheureusement plus les tomes passent, plus c’est anecdotique.

J’avais bien aimé les premiers tomes. Malgré un côté tranche de vie très affirmé, avec des histoires le plus souvent déconnectes les unes des autres, j’aimais quand même l’ambiance de celles-ci. Mais plus le temps passe, plus je trouve que le fantastique a une portion congrue dans les chapitres et ça me frustre. En plus, l’autrice s’intéresse désormais beaucoup aux personnages secondaires, délaissant les principaux, et comme elle passe très rapidement de l’un à l’autre, cela donne des histoires totalement dispensables qu’on oublie dès qu’on a fini de les lire.

C’est dommage parce que dans l’ensemble, c’est hyper gentil et mignon. L’ambiance est très positive. Il y a des idées lumineuses et d’autres très amusantes dans les petites histoires qu’elle invente. Par exemple, le premier chapitre où une journaliste se rend chez l’une de nos sorcières, c’est fort amusant de voir son animal de compagnie magique essayer de se cacher sans succès. Puis lors de la fête estival, le basculement des héroïnes dans le monde magique est fascinant et cocasse, notamment avec l’origine du riz d’ogetsuhime.

Mais le reste est bien anecdotique, que ce soit quand ils ne parviennent pas à finir une farandole de dessert, quand on recroise lapineau, quand on s’intéresse aux mandragores, ou quand on croise des statues de Bouddha qui marchent. Je ne sais pas comment l’expliquer mais j’ai trouvé ces histoires totalement banales et transparentes.

Bref, Flying witch reste une lecture divertissante et rafraîchissante mais de moins en moins au fil des tomes, l’autrice tire trop sur la corde.

Tome 10

Après plus d’un an d’attente, voici enfin le retour de nos charmantes sorcières et de leurs amis qui comme nous vivent une petite vie tranquille où seul les charmes de nos sorcières viennent la rythmer différemment.

Chaque tome de Flying witch est un petit bonbon sucré qu’on s’amuser à suçoter pour mieux en conserver la saveur le plus longtemps possible. C’est doux, frais, pétillant et rafraîchissant même si ça ne raconte pas grand-chose. Il y a de moins en moins de folklore, ce que je regrette une peu, j’aimais quand des créatures venaient nous surprendre au détour d’une page. Mais il reste la bonne humeur et la joie de vivre communicative des héros.

Ce tome, en plus, est sorti à point nommé pour nous faire ressentir la chaleur de l’été comme la vivaient nos héros. Au cours de premiers chapitres appétissants, on récoltait et cuisinait avec eux des fruits et légumes de saison, ce qui donnait faim. J’aime aussi cet aspect très terre à terre de l’oeuvre, qui donne envie de se mêler aux personnages et donne des idées de recettes simples, surtout quand la dessinatrice sait aussi bien mettre en valeur celles-ci.

Mais ça ne m’a pas déplu ensuite de faire quelques brèves découvertes sur l’univers de nos sorcières, notamment en me rendant avec Makoto au bureau de la guilde locale. Ce lieu farfelu par excellence était charmant à découvrir et l’autrice a encore imaginé pour ce cela une gentille histoire un peu fofolle nous faisant courir partout à travers ses couleurs. C’était amusant.

De la même façon, j’ai aimé être dépaysée quand Makoto et sa soeur aînée sont rentrées chez elles voir leurs parents. Avec cette atmosphère banale et tranquille, on les suit lors d’un voyage en train, admirant les paysages, camouflant leurs chats en les faisant maladroitement passer pour des peluches, avant de retrouver leurs parents à qui elles cherchent à jouer des tours. C’est classique, mignon, sans esbroufe mais ça fonctionne car c’est plein de bons sentiments et qu’on aime aussi parfois avec du pur tranche de vie avec juste une pointe de folie apportée par leur caractère et leurs pouvoirs.

J’avoue aimé ainsi aimer tout autant ces instants sans tension mettant juste joliment en relief le quotidien, que les instants plus magiques où les héroïnes vont par exemple à la chasse aux esprits dans un temple au chat et où les surprises leur sautent littéralement à la figure. Le banal et le fantasque s’accordent à merveille, comme le moderne et le folklorique, le tout dans un trait toujours très doux et plein de rondeur qui enrobe le lecteur et le met dans ses petits chaussons. Que c’est agréable !

Petit histoire de bonheur que ces retrouvailles. Avec des aventures qui sommes toutes ne racontent pas grand-chose, Chihiro Ishizuka parvient cependant à me faire passer un joli moment de détente grâce à son atmosphère gentiment apaisante et doucement fofolle. Elle met joliment en relief un quotidien qu’on a mainte fois vécu, nous fait découvrir les fruits de nos jardins autrement, le voyage en train devient une aventure, les retrouvailles avec la famille un moment pétillant, et la visite au temple une aventure en soi. Charmant !

Tome 11

Tandis que les sorties s’espacent, s’espacent au point que j’en oublie presque la série parfois, je prends quand même du plaisir à replonger dans ce doux univers légèrement amusant de nos sorcières des temps modernes et de leurs consoeurs.

Avec sa couverture automnale, parapluie à la clé, Chihiro Ishizuka continue de nous proposer de brefs instantanés de vie plutôt intemporels et inclassables où Makoto et ses amis jouent de leurs pouvoirs et du monde fantastique dans lequel ils se trouvent en cohabitation avec le nôtre. C’est une suite de petites histoires sans forcément grand lien entre eux mais qu’importe. C’est surtout le plaisir de retrouver ces personnages et leurs loufoques aventures.

Que ce soit en suivant la jeune apprentie sorcière et son lapineau lors de son devoir de vacances ; en retrouvant la soeur de Makoto complètement saoule qui fige le temps de tout le monde ; Makoto qui fait les boutiques de vêtements à sa façon ; ou une créature qui finit coincée chez eux, tous ces petits moments débouchent sur des aventures amusantes et cocasses qui rythment bien la lecture et nous font passer un moment agréable et truculent. J’ai ainsi ri devant la fusée que devait inventer notre apprentie et qui est partie dans les étoiles, ou encore quand Lapineau est devenu officiellement son familier et a pu parler avec elle, il a une de ces gouailles ! Sans parler de Chihiro, qu’est-ce qu’elle est maladroite derrière ses puissants sorts ! Tout est ainsi décalé, drôle et inattendu, ce qui rend la lecture vraiment savoureuse.

Alors non, il n’y a toujours pas de fil rouge et il n’y en aura jamais je crains. Du coup, l’attente ne se fait pas trop sentir entre les tomes, ça va. On prend juste plaisir à les suivre dans leurs délires sans trop réfléchir et sans avoir trop d’attente, ça détend bien. Le décalage entre nos mondes se retrouve dans les personnalités mêmes de nos sorcières et c’est amusant. Tout est décalé, jusque dans l’annonce de Makoto à ses amies, qui semble un non événement. C’est rigolo.

Alors pour certaines séries, c’est agaçant de patienter un an. Ici, vu le schéma et l’ambiance, ça ne gêne pas finalement. On prend plaisir à les retrouver comme on prendrait plaisir à retrouver des amis de longue date. C’est drôle, frais, décalé. Ça manque totalement d’enjeu mais on s’en moque, on rit juste de la cocasserie des situations proposées et on s’émerveille de l’imagination de l’autrice. Une vraie bonne série détente avec du fantastique.

B lecture

12 commentaires sur “Flying Witch de Chihiro Ishizuka

  1. Oh, ça m’interpelle !! Moi qui viens de quitter la ville pour la campagne, et qui (re)découvre, je me dis que ça peut être chouette 😀
    Après, ce genre de dessin, j’adore 😛 Le style « animé » que tu l’as me convient totalement 😀 Ce que je redoute, c’est la présence de la magie :O Personnellement, j’aurai carrément préféré qu’il n’y en ait pas, parce que ça me fait un peu penser à « Kiki, la petite sorcière » :/
    Mais allez, je le mets dans ma wish parce que là, vraiment, tu m’as rendue curieuse 😉
    Bisous !

    Aimé par 2 personnes

  2. Oh non, c’est dommage qu’il y ait déjà de la perte de vitesse avec le tome 2 ! 😦
    Tiens, ça me fait penser à Barakamon, j’sais pas si tu l’as lu. Le premier tome était chouette, dépaysant, et puis dès le deuxième c’était des situations comiques à répétition, qui veulent juste nous prouver qu’entre la ville et la campagne, y’a un écart :/ Heureusement que parfois la calligraphie est remise en avant, parce que sinon j’aurai très vite abandonné …
    Mais j’ai abandonné quand même xD
    Bon, je te rassure, j’ai toujours très envie de lire le tome 1 de « Flying witch » 😉

    Aimé par 1 personne

  3. J’avoue être un peu plus enthousiaste que toi au niveau des dessins même si je n’ai fait que feuilleter le premier tome. Je suis en tout cas ravie de voir qu’au fil des tomes, ton opinion sur le manga devient de plus en plus positive 🙂 C’est motivant pour se lancer dans cette série qui fait partie de mes lectures mangas prioritaires…

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    1. Je suis toujours un peu chiante pour les dessins parce que c’est vraiment très importants pour moi et j’aime moyennement quand c’est lisse (je ne sais pas le qualifier autrement…) comme dans les animés ^^!
      Ravie de te donner envie grâce à mes avis 😀

      Aimé par 1 personne

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