The Royal Doll Orchestra de Kaori Yuki

Titre : The Royal Doll Orchestra

Auteur : Kaori Yuki

Années de parution vf : 2010-2011

Editeur vf : Tonkam

Nb de tomes : 5 (série complète)

Résumé du tome 1 : Dans un pays où un mal mystérieux transforme les humains en « guignols », marionnettes à l’agressivité exacerbée, un orchestre royal voyage pour apaiser les cœurs. Le chant de Rutile, leur chef, et l' »Oratorio noir », un mystérieux livre de chant, apporteront-ils un miracle dans ce monde de désolation ? Voici le premier opus d’une partition endiablée et onirique, interprétée par des marionnettes !

Mes avis :

Tome 01
Superbe introduction au nouveau monde glauque, dérangeant et cruel que nous présente l’auteur. L’intrigue est bien menée, sans temps mort ; les personnages intriguent beaucoup ; et le tout est desservie par un dessin superbe. Que de potentiel dans cette série, vivement la suite !

Tome 02
On en découvre un peu plus sur le passé de Rutile dans ce volume et ça a de quoi allécher les plus curieux. Les autres personnages sont encore un peu en retrait, j’espère en découvrir plus par la suite. En tout cas, l’intrigue semble prendre de la consistance et nous tient toujours en haleine

Tome 03
Révélations en série dans ce volume, aussi bien sur Rutile, Gwindel que sur le mal qui frappe leur monde. Des perspectives intéressantes sont données sur les menées de chacun. Le final, lui, est un peu plus attendu et n’a pas grand-chose d’original. A voir comment ils vont s’en sortir par la suite.

Tome 04
Un début moyen pour ce volume, puis une partie sur le Sénat longuette et brouillonne. Heureusement les informations apportées ont su réveiller mon intérêt. De plus, les dernières pages de ce volume, qui amorcent la fin de la série étaient plus que palpitantes.

Tome 05
Dernier volume de la série, la fin est plutôt réussie, on a bien les réponses à nos questions, mais en même temps ça laisse une impression de bâclage à cause de sa rapidité. Le oneshot qui suit, part d’une bonne idée, mais le traitement est beaucoup trop brouillon pour qu’on puisse l’apprécier.