Livres - Mangas / Manhwa / Manhua

Tant que nous serons ensemble de Yuki Akaneda

Titre : Tant que nous serons ensemble

Auteur : Yuki Akaneda (=Fumino Yuki)

Éditeur vf : Akata (L)

Année de parution vf : Depuis 2019

Nombre de tomes vf : 6 (en cours)

Histoire : Kei et Aki viennent d’emménager dans un nouveau quartier, loin de tous ceux qui les connaissent. Et si tout le monde voit en eux un adorable couple de jeunes mariés, s’ils portent le même nom de famille, c’est pour une toute autre raison… Lui travaille au sein d’une maison d’édition. Elle est puéricultrice au sein d’un jardin d’enfants. Quelles sont les raisons qui ont pu pousser ces deux jeunes adultes au passé vaporeux à vouloir se faire oublier de leurs proches et vivre, dans le plus grand secret, leur amour platonique ?

Mon avis :

Tome 1

Dans sa collection classique, je fais toujours confiance à Akata pour le choix de ses shojo et pourtant quand j’ai entendu parler de Tant que nous serons ensemble, j’ai eu un peu peur. Une romance sur fond d’inceste, c’est toujours un sujet casse-gueule et je ne suis pas du tout à l’aise avec le sujet je l’avoue. Mais en creusant, j’ai vu que l’autrice était celle d’Hidamari ga kikoeru, un boys’ love que j’adore où l’autrice traite avec beaucoup de subtilité du handicap entre autre. J’étais donc rassurée et j’ai foncé acheter le titre.

Commençons avec cette magnifique couverture pleine de douceur et de mélancolie qui ne peut qu’accrocher le regard. J’en suis fan et les prochaines ont l’air tout aussi belles, si la version française suit l’originale. On y voit un jeune couple dans leur quotidien. Les teintes sont belles et subtiles et est dans une atmosphère typiquement japonaise avec ces cerisiers en fleur. Le décor est simple mais très évocateur et plein de promesses.

Quand on ouvre le livre, on se retrouve face à une histoire très subtile et douce racontée en plusieurs temps. On suit d’abord un jeune couple qui vient de s’installer ensemble. L’un travaille dans une maison d’édition de livres pour enfants, l’autre est puéricultrice dans une crèche de petite ville. Mais on sent d’emblée qu‘ils cachent quelque chose, à l’image de ces coups de téléphone auxquels Kei ne répond pas. En effet, ils sont frère et soeur et se sont enfuis pour vivre ensemble.

D’habitude ce genre de sujet est malheureusement assez racoleur dans les manga qui parviennent jusqu’à nous, mais Yuki Akaneda a décidé de prendre l’exact contrepied pour nous peindre une histoire toute en sensibilité, subtilité et non-dits typiquement japonais. J’ai beaucoup aimé. Pour cela, elle montre d’abord leur quotidien présent sûrement obtenu au prix d’âpres combats qui risquent de ne pas être terminés. Puis, on repart dans le passé, pour découvrir des épisodes de leur enfance et leur adolescence où l’on voit des liens particuliers se nouer entre eux. Entre amour profond pour son frère/sa soeur et amour romantique, il y a un monde, mais ici cela semble inéluctablement se confondre au fil du temps de façon assez tragique et douloureuse pour eux, du moins pour Aki, qui est la narratrice ici. C’est une douce et lente mélodie qui se déploie pour nous frapper encore plus fort au moment venu. On sent bien que cela va être dur, douloureux avec des grands bonheurs mais également de vraies souffrances que chacun garde en lui et qu’on va explorer ici, la thématique des amours interdits étant au coeur de ce titre.

Ce premier tome n’est pour le moment qu’une esquisse de l’histoire. On y fait la rencontre des héros et de leurs amis proches, de la problématique principale et des secondaires qui en découlent : jugement de la société, la question des enfants, etc. Je pense que le titre a tout pour me plaire parce qu’il n’est nullement l’apologie de l’inceste, encore moins un récit voyeuriste, mais plutôt le récit doux-amer de quelque chose de tabou qui existe pourtant véritablement et qui est source de bien des souffrances.

Et l’autrice est largement à la hauteur pour en faire le récit, aussi bien grâce au ton calme, serein et subtil qu’elle sait poser, que grâce à son talent graphique évident dans l’ambiance douce et mélancolique qu’elle crée, et dans les cadrages subtils qu’elle offre à nos yeux émerveillés. C’est vraiment une artiste à suivre qui sait transmettre énormément de sentiments en peu de cases et avec une subtilité et une sensibilité rare.

Pour conclure, je me suis beaucoup répétée mais j’avais tellement peur de ne pas aimer ce sujet délicat que j’ai été frappée par la sensibilité et la subtilité déployées par l’autrice pour faire le récit de cette romance tabou. J’aime le choix du cadre, j’aime l’ambiance, j’aime les caractères simples des héros, j’aime la dynamique du récit et le choix des différentes temporalités. C’est un coup de coeur pour moi !

Tome 2

Suite directe du tome précédent avec la découverte des années lycées de nos héros frères et soeurs mais amoureux, j’ai trouvé ce tome un peu plus fade et lisse que le précédent, alors qu’on y sent bien le drame monter tout doucement.

Très très axé sur Kei, ce tome continue à nous montrer la complexité des sentiments qui rentrent en jeu entre nos deux héros et qui lui conduiront à la situation présente avec laquelle on a entamé la série. A l’adolescence, Kei se rend de plus en plus compte des sentiments hors-normes qu’il porte à sa soeur et de leur relation différente de celle qu’entretiennent les autres frères et soeurs de leur âge, mais il ne peut lutter contre. On suit donc avec indolence, tout comme lui, les stratégies qu’il met en place pour la garder près de lui sans qu’elle comprenne trop ce qui se passe non plus, et ce jeu de « je t’aime, moi non plus » ou « je t’aime mais ne reste pas trop près de moi mais non ne t’éloigne pas » peut vite fatiguer. J’ai vraiment du mal avec le personnage de Kei et pourtant, il me fait beaucoup de peine. On sent bien qu’il ne sait pas comment se dépatouiller de tout ça.

Par contre, je regrette énormément que ça soeur, Aki, soit tellement en retrait pour l’instant. On n’entend presque pas sa voix et on ne voit l’histoire qu’à travers le regard, un peu morne, de Kei. C’est vraiment fort dommage parce que je sens bien plus de potentiel en elle qu’en lui.

Le point positif quand même, c’est qu’en mettant Kei sous les feux des projecteurs, on suit également son meilleur ami, Makishima, que personne ne croit depuis qu’il a fait son coming-out. Il m’a fait beaucoup de peine, lui aussi. Je le trouve très mature pour son âge et il semble se rendre compte de plein de choses sans trop rien dire. Sa relation toute simple et tranquille avec Kei, me plaît, on sent que malgré tout ils peuvent très bien compter l’un sur l’autre, c’est beau.

Reste que dans ce tome 2, l’histoire avance péniblement. J’en aime beaucoup l’ambiance, la complexité et la douloureuse poésie que je retrouve dans l’écriture de l’autrice qui nous livre des planches justes sublimes de part leur dessin et leur découpage (un peu à la Ryo Ikuemi), mais c’est quand même très très long à lire pour si peu d’avancée. Le ton plombe un peu la lecture et on ne pas dire qu’on ressort avec le sourire de cette lecture. On souffre autant que les personnages à la lecture de leur histoire. C’est bon mais c’est douloureux !

Tome 3

Ce troisième tome est vraiment le pendant du précédent. Je pourrais reprendre presque point par point ce que j’ai dit sur le précédent pour lui également. La seule différence étant que cette fois Kei est dans le monde du travail, tandis qu’Akira est à la fac. Cependant encore une fois, j’ai trouvé ça beau mais très lisse.

Encore une fois, on ne voit presque que Kei et ce n’est pas le personnage le plus charismatique de l’histoire du manga… Il est très apathique et ça ne s’est pas arrangé en grandissant. Alors oui, on ressent bien son malaise sous-jacent mais il a quand même bien du mal à l’exprimer. Non, ça ne va pas au boulot où il est traité comme un moins que rien. Non, ça ne va pas à la maison depuis que sa soeur est partie. Et non, ça ne va pas dans sa vie perso vu qu’il n’en a pas…

La seule force de l’autrice ici, c’est de remettre sur le devant de la scène le personnage de la mère, qui est juste une horreur, une mère abusive en puissance qui fait froid dans le dos. Tout est insidieux mais elle sait appuyer là où ça fait mal et quand elle revient elle envoie tout bouler. C’est elle qui va pousser Kei à sortir de cette situation de status quo sans le vouloir et qui va le pousser à agir, ce qu’on attendait depuis un moment.

Pour cela, Kei peut heureusement compter sur son ami de toujours, qui a bien de la patience avec lui. Makishima est vraiment un personnage bien travaillé qui mériterait plus de pages. C’est un taiseux, un torturé, qui n’arrive plus trop bien à cacher ce qu’il pense et ressent. J’ai beaucoup aimé la dynamique qu’a introduit son collègue, qui lui n’est pas aveugle. Ça pourrait peut-être le secouer lui aussi.

Quant à Aki, c’est encore une fois la grande absente de ce tome. On sait juste qu’elle poursuit ses études loin de tous. Je trouve ce choix de l’autrice un peu bancal. On nous présente le titre comme une histoire sur l’inceste et au final, passé le premier tome, on a droit à deux opus où les personnages sont forts éloignés l’un de l’autre et où on n’entend qu’un seul des deux… Pas le meilleur choix pour ma part même s’il revêt une certaine sensibilité de sa part.

Je me suis donc retrouvée encore une fois face à un tome qui se lit bien parce que c’est beau, bien mis en page et bien écrit. Mais le titre manque encore d’enjeu. Tout est trop lisse. Les sentiments ne sont pas assez à nu et l’histoire se traîne. Sachant qu’on est déjà à plus de la moitié des tomes parus au Japon, même si la série est en cours, ce n’est pas d’excellent augure. Je m’attendais à plus.

Tome 4

Plus le temps passe, plus je suis sceptique concernant cette série dont pourtant j’attendais énormément au vu de son autrice et de son sujet… Ici, j’ai lu ce tome sans déplaisir mais sans passion non plus, et je suis la première à le regretter.

Ce nouveau tome, à la couverture très poétique pourtant, met en avant l’amie des deux héros. Malheureusement celle-ci tient à nouveau une place fort ténue dans l’histoire. On se demande même un peu ce qu’elle fait là et si elle n’est pas là pour combler un trou. Il faudrait sérieusement que l’autrice éclaircisse son propos pour qu’on comprenne enfin ce qu’elle et son voisin apportent au récit, parce que pour le moment, c’est un peu plat…

Les chapitres consacrés aux héros sont malheureusement du même tonneau, pas désagréable à suivre mais simples, classiques, plats et un peu fades. J’en suis la première attristée de devoir l’écrire. Cependant, ils ont le mérite cette fois de faire le lien avec le début de la série, puisque l’autrice nous présente les instants qui ont conduit à leur fuite et coupure avec tout le monde. Cependant, alors qu’on s’attendrait à quelque chose qui prendrait aux tripes, c’est très lisse et calme au final. Il n’y a pas la moindre émotion vive, tout est impassible comme l’héroïne. Les héros ne se parlent pas. Il y a beaucoup trop de non dits. Ça peut me plaire sur certaines séries mais là, il ne se passe rien, je trouve. C’est l’encéphalogramme plat.

Ainsi même si Yuki Akaneda (aka Fumino Yuki) tente de rendre son récit intéressant à suivre en dessinant comment ils se sont retrouvés dans leur situation initiale, comment ils ont pris leur décision, cela manque trop d’émotions pour rendre le titre indispensable. Du coup ça se laisse lire mais on ne ressent rien et on oubliera le titre dès qu’on l’aura refermé.

Tome 5

Depuis quelques tomes, je lisais plus la série pour son ambiance et ses beaux dessins que son histoire que je trouvais fade et inconsistante. Heureusement, j’ai l’impression que l’autrice se réveille dans ce tome.

Saluons tout d’abord encore une fois la superbe couverture qui agrémente ce nouvel opus, avec le meilleur de Kei à l’honneur, garçon qu’on ne retrouvera que le temps d’un dernier chapitre doux-amer à la clôture du tome. La composition des couvertures de cette saga est vraiment sublime et pose le ton.

Dans cette nouvelle partie du récit, les héros ont fui pour s’installer anonymement loin de chez eux, faisant croire à tout le monde qu’ils sont un jeune couple. Avec beaucoup de finesse et de subtilité, l’autrice travaille autour de ce thème tabou qu’est l’amour entre frère et soeur. Elle pousse peu à peu ses personnages à s’interroger sur leurs actions et leurs sentiments. C’est peu et c’est souvent fugace mais ça prend aux tripes quand c’est le cas.

Kei a beau avoir l’air ultra nonchalant et aveugle à ce qui se passe, il est parfois lui-même surpris des propos et des réactions des autres vis-à-vis de sa relation avec Akira, ce qui le pousse à s’interroger sur ses sentiments pour elle et à ce qui est possible ou non entre eux.

Mais c’est Akira qui est le personnage le mieux écrit et le plus sensible ici. C’est elle qui a le plus tôt réalisé ses sentiments, qui vit avec et qui sait le plus le poids de ceux-ci. Encore une fois, même si c’est subtile, j’ai été frappée à plusieurs occasion par tout ce qu’elle emmagasine en elle. Les situations sont nombreuses où le tabou de leur relation affleure mais elle parvient à surnager au milieu de tout ça, ce qui montre sa force de caractère.

Alors oui, cela peut mettre terriblement mal à l’aise lorsqu’on les interroge sur leurs relations, leur envie d’avoir des enfants, ou qu’on les prend pour un couple en pleine lune de miel. Mais c’est encore plus terrible pour eux. J’ai été touchée par la fragilité et la beauté de leur relation superbement mis en écho avec les dessins fins et poétiques de l’autrice qui sait très bien choisir ses cadres et points de vue.

Cependant l’histoire aurait pu rester juste ça, jolie et subtile, si l’autrice n’avait pas agrémenter son récit de petites nouveautés visant à pimenter l’histoire. En effet, dans ce petit village loin de tout, Kei fait la rencontre d’une jeune femme qui lui ressemble énormément et qui semble avoir le même genre de dynamique avec son jeune frère que lui avec Akira. J’ai l’espoir qu’elle fasse bouger les choses et le pousse à s’interroger encore plus profondément sur sa propre relation.

Ainsi, alors que peu à peu l’histoire sombrait pour moi et que je n’y voyais plus beaucoup d’intérêt, j’ai été frappée par la qualité de ce tome, qui a réveillé toutes les qualités que j’avais trouvées au début de la série. Je re-signe donc volontiers pour la suite !

Tome 6

La série avait démarré sous les meilleurs auspices mais plus le temps passe, plus j’ai l’impression que l’autrice ne sait pas bien où elle va, ce qu’elle veut raconter, et que pour cela elle délaye ce qu’elle raconte. Cela donne un titre vraiment mou et perturbant à lire…

Ici, nous nous retrouvons ainsi avec une étrange première partie sur la meilleure amie d’Aki : Tamaki. On se demande un peu ce que ça vient faire là car clairement l’autrice n’a pas vraiment fait en sorte de la rattacher au récit, c’est plutôt une pièce rapportée. Alors cela donne à son récit un petit côté décroché du reste où le manque de liant se fait cruellement sentir. Et c’est vraiment dommage parce qu’en soi, son histoire est vraiment intéressante. Il y est question de la façon dont un enfant même adulte vit la séparation de ses parents, comment elle vit d’être avec seulement l’un d’eux, comme elle vit le retour de l’autre qui veut la revoir après l’avoir abandonnée. De façon encore plus générale, l’autrice utilise ce personnage pour traiter de la question du premier emploi avec toutes les difficultés que cela implique sur l’entretien à passer, la difficile vie tout jeune actif et le fait de devoir travailler pour gagner sa vie et non par passion. C’est riche et actuel, avec un ton juste malgré tout le mélo autour.

Cependant, l’autrice retourne ensuite sur le couple, nouvellement installé depuis 6 mois, et fait ainsi encore plus ressentir la coupure et l’absence de liant entre les deux malgré l’émotion ressenti lorsque Tamaki reçoit le cadeau d’Aki, mais leur vie est tellement éloignée, différente que c’est impossible de vraiment sentir un lien… Pour en revenir à Akira et Keiichi, il n’y a pas de grande évolution. J’ai l’impression de revivre ce qu’on a déjà vu auparavant. En plus l’absence de rythme n’aide pas. Toutefois, le personnage de l’écrivaine qui gravite autour d’eux vient remuer un tantinet tout ça. En découvrant son passé et celui de son frère, cela bouscule Kei et le pousse à s’interroger sur ce qu’ils font. De même, le fils de leurs propriétaires s’intéresse plus en plus à Akira, ce qui met en danger leur situation actuelle. Peut-être que tout ça va enfin faire bouger les choses, ce serait bien, car si je n’ai rien contre les tranches de vie, ici, ce n’en est pas vraiment un, tout comme ce n’est pas autre chose, ce qui rend le tout bancal.

Ainsi, malgré une idée de départ intéressante et un début prometteur, la série continue de s’enliser et l’autrice peine à savoir quoi raconter et comment. Après peut-être que le rythme de parution n’aide pas non plus, je l’avoue. C’est dommage parce que sous ce méli mélo au rythme lent, mou, où il ne se passe pas grand-chose, où on ne ressent pas grand-chose non plus, il y a quelques idées plutôt bien fichues qui mériteraient d’être abordées dans une histoire mieux conçue.

12 commentaires sur “Tant que nous serons ensemble de Yuki Akaneda

    1. Si je ne dis pas de bêtises, il y a déjà 5 tomes au Japon (les couvertures que j’ai mises juste avant mon avis ^^), mais je comprends que tu attendes de voir un peu comment ça évolue. Pour ma part, ayant déjà lu l’autrice, j’ai confiance en elle 🙂

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  1. Je n’ai pas eu peur, j’ai vu la vidéo de Bruno et je me suis dit je crois qu’il me faut XD
    ah oui, elle est très belle la couverture, et les suivantes aussi. Vu qu’on a suivi pour le tome 1, ça devrait le faire pour les suivants et puis c’est Akata

    Coup de coeur pour nous deux yeah ! ❤

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      1. ah ben entre le fait qu’il parlait que c’était bien abordé, en sensibilité et les effets sur le graphisme, il m’avait conquise.
        Après oui, elles ne sont pas toutes d’égal qualité. Mais je ne suis pas encore tombé sur une vidéo qui m’a trompé je crois, à part le résumé de SOS Love qui trompe et où la série est sympa à lire sans plus, mais vraiment pas la hauteur de ses promesses.

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      2. Là, je ne partage pas ton avis. Quand je vois la com’ autour de Game entre nos corps, je tique, de même que pour Duellistes ou encore Aromantic Love Stories. Pour moi, ce sont des titres survendus… Mais je reconnais que c’est une minorité ^^

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      3. Je n’ai pas trop suivi la com de ces titres donc …. XD
        Mais bon game entre nos corps ct ps possible
        Duelliste et aromantic…j’ai fait un effort comme j’en avais l’occasion et qu’il y a qqs pistes, choses qui ressortent…mais ils ne sont pas dans mes prio, d’où ils tardent.

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