Livres - Jeunesse / Young Adult

10 chats / La cape magique / La fougère et le bambou / Jurassic Love / Le roi et rien / L’expédition rocambolesque du professeur Schmetterling

La rentrée n’est jamais un moment facile ni très agréable, alors on est heureux de trouver du réconfort dans certaines lectures, en tout cas, c’est mon cas. Merci à l’École des loisirs d’avoir pourvu à cela avec cette belle flopée d’albums pour tous les goûts : humour, tendresse, poésie, philosophie et même aventure. Cette année, les plus grands auteurs de la maison se sont donnés la main pour nous redonner la forme !

Bonne découverte à vous !

Titre : 10 chats

Auteur : Emily Gravett

Éditeur : École des loisirs

Date de parution : 24 août 2022

Nombre de pages : 32

Résumé : Voici 10 chats… et 3 pots de peinture. Ajoutons un grain de folie, un soupçon d’espièglerie et… Splash ! Il est beau, le résultat !

Mon avis :

Découverte avec Chers Maman et Papa, son histoire sur les suricates, Emily Gravett a de suite su me séduire par une facilité certaine à croquer nos amis les bêtes avec humour et tendresse, ainsi qu’un brin de cocasserie. En donnant à entendre la voix de nos amis les chats, elle ne pouvait pas faire mieux à mes yeux, moi qui adore ces créatures à quatre pattes.

Je me suis régalée devant l’histoire toute en image et si peu en texte de 10 chats, ce joli album au format carré où elle nous conte les aventures de 10 chats de pots de peintures. Elle m’a rappelée ce passage si célèbre des Aristochats où Toulouse, Berlioz et Marie jouent eux aussi avec de la peinture. Ce fut donc direct gagné pour moi !

Avec un texte pourtant extrêmement succinct, parfait pour les jeunes lecteurs encore peu sûrs d’eux, elle met en scène 1 chat et 9 chatons, chacun ayant une robe différente et jouant avec les couleurs des pots de peinture qu’ils renversent. Le texte bien que présent ne contribue en rien, je dois dire, au charme de l’histoire. Ce sont les dessins et la mise en scène de l’autrice qui font tout. On se retrouve avec délectation à tourner et retourner les pages, en avant, en arrière, pour suivre leurs aventures.

J’ai beaucoup aimé le jeu qui se crée entre eux et nous. Je me suis amusée à suivre d’une double page à l’autre chaque chat pour saisir ses mouvements dans cette aventure vouée d’avance à l’échec. C’était amusant de les voir jouer et se chamailler au milieu de ces pots qu’ils reversent au fur et à mesure, jusqu’à tous finir tâchés. C’est amusant de regarder lesquels seront touchés, de quelle façon ils le seront et quelles couleurs finiront par les recouvrir.

Pour les tout petits, c’est une bonne façon de jouer à faire le tri et dénombrer des collections. Elle offre aussi de découvrir les couleurs et les mélanges, le tout sous son trait plein de bonheur et de joliesse. J’ai adoré !

Bien qu’archi classique, ce court album fut un vrai coup de coeur pour le jeu qu’il propose en suivant ces chats mais aussi devant les dessins plein de charmes d’Emily Gravett, dont décidément, j’adore les représentations animalières ! Je vous laisse voir 😀

(Merci beaucoup à L’école des Loisirs pour leur confiance et cet envoi)

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Titre : La cape magique

Auteurs : Nadine Brun-Cosme et Sibylle Delacroix

Éditeur : L’École des loisirs (Kaléidoscope)

Date de parution : 7 septembre 2022

Nombre de pages : 32

Résumé : Prenez un loup affamé, un Petit Chaperon rouge appétissant, deux moutons insouciants, trois cochons dodus, une tempête menaçante… et vous obtiendrez un conte décoiffant où tel est pris qui croyait prendre !

 

Mon avis :

C’est avec une drôle couverture poétique et amusante à la fois montrant un cochon et sa queue en tire bouchon recouvert d’une cape rouge que Sibylle Delacroix a à nouveau su titiller ma curiosité et quelle aventure elle m’a fait vivre aux côtés de Nadine Brun-Cosme !

De cette dernière, je ne connais de nom que sa série Grand Loup et Petit Loup, en revanche, j’ai adoré Sibylle Delacroix dans Des oiseaux plein la tête où elle avait su parler avec subtilité et douceur d’enfants différents et de leur réception par les autres. Je savais donc que j’allais passer un bon moment.

Ici, le duo d’autrice s’amuse à revisiter un grand classique de la littérature enfantine : le conte en randonné avec un loup. Elle reprenne pour cela les histoires phares de celui-ci et les personnages qui l’y accompagnent : Petit chaperon rouge, petit cochon, moutons, mais les détournent avec beaucoup d’astuce pour offrir une histoire totalement inédite. J’ai adoré l’expérience.

C’était hyper amusant et cocasse de voir ce loup affamé s’imaginer que la cape rouge, qui virevolte d’un personnage à l’autre à cause du hasard et du vent, est magique, l’empêchant à chaque fois d’obtenir le repas qu’il souhaite mais lui offrant toujours plus. C’était tordant de voir ce loup échouer à chaque fois si près du but à cause d’un tour du destin qui se concluait bien souvent par une chute, une bosse ou un coup pour lui.

Les autrices ont eu un excellent sens de la mise en scène ici et beaucoup de nez pour imaginer ces scénettes où texte et dessin se répondaient à merveille pour proposer une histoire rigolote et pleine d’allant qui va, j’en suis sûre, faire hurler de rire les jeunes lecteurs amateurs de telles déconvenues pour un personnage tel que le loup.

Le trait tout en gris, blanc et rouge de Sibylle Delacroix fait des merveilles. Il rappelle les anciennes histoires pour les enfants tout en étant très moderne et vif. Il a un côté très cartoon aussi dans son énergie et sa dynamique. J’ai adoré la rondeur des personnages en dehors du loup. Ils fleuraient bon l’enfance et on sentait tout le plaisir qu’ils prenaient à jouer avec insouciance dans cette nature champêtre. Superbe !

Nouvelle réussite pour Sibylle Delacroix et ses beaux et tendres dessins. Son association avec Nadine Brun-Cosme offre une histoire fort amusante qui revisite astucieusement le personnage du loup qu’on croise si souvent dans les histoires pour enfants. Je suis fan !

(Merci beaucoup à L’école des Loisirs pour leur confiance et cet envoi)

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Titre : La fougère et le bambou

Auteurs : Marie Tibi et Jérémy Pailler

Éditeur : L’École des Loisirs (Kaléidoscope)

Date de parution : 7 septembre 2022

Nombre de pages : 40

Résumé : Au soir de sa vie, un vieil homme lègue deux graines à ses fils : à l’aîné, une graine de fougère ; au cadet, une graine de bambou.
« Plantez-les dans la forêt en souvenir de moi. » Si la fougère recouvre vite le sol, rien ne pousse de la graine de bambou, au grand désespoir du plus jeune des frères…

Mon avis :

 Depuis, qu’enfant, je regardais les Minipouss, j’adore les histoires à hauteur d’animaux et encore plus de petits animaux, alors face à une couverture comme celle de La fougère et le bambou, je ne pouvais qu’être intriguée. J’ai eu la surprise en cours de lecture de me retrouver face à un texte encore plus surprenant et puissant que prévu !

Nous devons ce joli album au duo Marie Tibi et Jérémy Pailler. La première est une autrice prolifique qui a fait de nombreuses collaborations, tandis que le second a moins d’expérience mais m’a déjà offert un très beau moment l’an passé avec Le pays du grand ciel, un conte mongole. Je suis ravie de retrouver son trait si rond et globuleux ici aux côtés de deux frères mulots dans une histoire inspirée, cette fois, d’un conte oriental.

Alors que je croyais suivre une petite aventure toute mignonne au pays des animaux, je me suis retrouve face à une très belle parabole philosophique sur le sens de la vie, de l’héritage et le goût de l’effort et ses récompenses. C’était surprenant et enrichissant, donnant envie de le lire et le partager avec les futurs élèves de ma classe, pour échanger sur leurs perceptions même si le sujet est un peu dur et triste.

L’histoire débute par la mort d’un père de famille, qui confie en héritage à chacun de ses fils une graine différente. On voit l’aîné, déjà fort et reconnu par les autres, avoir sa graine pousser rapidement, tandis que le cadet, plus chétif, a bien du mal, lui, mais persévère et ne lâche rien.

Ce joli conte nous apprend la valeur de l’effort, le goût de la persévérance et l’importance de ne pas se fier aux apparences pour continuer à grandir et apprendre à gagner en confiance. C’est plein de réflexion mais extrêmement poétique et ça réchauffe également le coeur avec ce père qui avait si bien compris ses enfants et a su ainsi leur montrer son amour et la voie vers un avenir encore meilleur. J’en suis sortie toute émue.

Il faut dire aussi que les dessins de Jérémy Pailler nous permettent vraiment de plonger dans cette aventure pleine d’émotion. Ce sont sur chaque page et double page de superbes tableaux animaliers, où comme dans Les Minipouss et Arietty tout est traduit à hauteur d’animaux, ce qui rend cela charmant, dépaysant et plein d’astuce. Avec son petit air classique à la Dickens, il transmet énormément d’émotion, tout en donnant envie de plonger à notre tour dans leur nature tellement pleine de charme et reposante.

Superbe histoire pleine d’émotion qui a su me surprendre, La fougère et le bambou est plus qu’une simple histoire de mulots des champs, c’est une touchante histoire d’héritage sur la découverte de soi et de l’autre, ici son frère, le tout souligné par les dessins poignants, tout en rondeur, de Jérémy Pailler que j’ai adoré retrouver. Un moment émouvant et plein de surprises.

 (Merci beaucoup à L’école des Loisirs pour leur confiance et cet envoi)

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Titre : Les aventures de Pancrace et Dorimène, tome 1 : Jurassic Love

Auteurs : Geoffroy de Pennart et Laurent Audouin

Éditeur : L’École des Loisirs (Kaléidoscope)

Date de parution : 21 septembre 2022

Nombre de pages : 32

Résumé : Quand l’amour sonne à la porte, il vaut mieux être chez soi. Pancrace est un jeune et brillant scientifique. Il vient de quitter sa famille pour emménager dans une petite maison bien à lui. Quel choc d’y être cambriolé le jour même ! Et par une jeune fille !

Mon avis :

En inconditionnelle de Geoffroy de Pennart, je me suis bien sûr jeté sur son album de la rentrée et quelle surprise j’ai eu de voir qu’il était cette fois en duo avec Laurent Audouin aux dessins, dans une aventure des plus truculentes, celle des jeunes Pancrace et Dorimène au pays des dinosaures !

Geoffroy de Pennart et moi, c’est une longue histoire d’amour qui remonte à mes débuts dans l’enseignement il y a près de 10 ans maintenant, mais j’ai l’habitude de le voir en solo, et j’adore ses dessins. J’ai donc d’abord été un peu chagrinée à l’idée qu’il n’officiait qu’au scénario. C’était avant de voir les dessins truculents de Laurent Audouin, dessinateur qui n’est pas un perdreau de l’année. Artiste expérimenté, il se livre ici à un superbe exercice de style, mettant parfaitement en scène l’histoire loufoque imaginée par l’auteur.

En effet, le duo nous embarque à Dinoville, un univers 100% inventé par eux qui mélange notre petite vie moderne et urbaine à la sauce dinosaure. Avec un trait très ramassé et plein de rondeur donnant un petit côté cartoon à leurs personnages, ils leur ont imaginé une petite vie faite de pleine de surprise tout à fait banale pourtant.

Le héros, c’est Pancrace, un jeune scientifique qui vient enfin de quitter sa famille pour emménager seul, mais un jour en rentrant chez lui, il surprend une demoiselle dino pénétrant dans son appartement. Il lui arrive ensuite une suite de péripéties plus drôles et rocambolesques les uns que les autres reposant sur un humour pourtant très simple et proche de notre quotidien mais qui fait mouche.

Avec beaucoup d’allant les auteurs nous emmène d’une bourde à l’autre commise ou subis par notre nouveau duo dino bien maladroit, d’une chute après avoir glissé sur une crotte, à un fauteuil roulant volé, en passant par une rencontre inattendu avec le père de sa dulcinée, un rendez-vous qui tourne court et autres chagrineries, on ne s’ennuie pas un instant et on s’amuse beaucoup des quiproquos et autres traits d’humour de l’oeuvre. C’est du grand Geoffroy de Pennart qui n’a pas son pareil pour inventer des histoires poilantes et ultra fluide à partir d’un rien. C’était le cas dans ses histoires de loups et de dragon et chevalier, c’est le cas avec les dinos aussi !

Nouvelle saga jeunesse signée d’un auteur que j’adore, je sens que je vais vraiment m’amuser à chaque sortie à suivre les aventures du duo détonnant Pancrace et Dorimène, qui sont décidément bien maladroits et nous offrent bien des rebondissements rocambolesques dans un monde où les dinos nous ressemblent bien. Cocasseries garanties !

(Merci beaucoup à L’école des Loisirs pour leur confiance et cet envoi)

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Titre : Le roi et rien

Auteur : Olivier Tallec

Éditeur : L’École des Loisirs (Kaléidoscope)

Date de parution : 28 septembre 2022

Nombre de pages : 32

Résumé : C’est l’histoire d’un roi qui avait tout, vraiment tout : des éléphants sans trompe aux patins à glace goût caramel. C’était un grand collectionneur. Il ne lui manquait presque rien. Ou plutôt il lui manquait RIEN. Quand un roi qui a tout cherche à trouver RIEN…

Mon avis :

 Dans le lot des auteurs que j’adore et qui sortent un album en cette rentrée, Olivier Tallec n’était pas des moindres, l’ayant raté lors de sa venue par chez moi en juin. Malheureusement, je n’ai pas autant aimé cet album à la surprenante connotation philosophique que les autres de l’auteur, ceux avec notre ami écureuil en tête ^^’

Olivier Tallec officie désormais depuis des années et nous offre des histoires toujours plus variées et surprenantes les unes que les autres mais ces dernières années, c’est avec un certain écureuil malicieux nous représentant bien dans nos écueils qu’il avait su me séduire. J’aurais aimé revivre cela Le roi et rien, mais ça n’a pas aussi bien marché.

Pourtant, nous retrouvons le même esprit. Nous sommes aux côtés d’un héros qui fait preuve d’un certain défaut, et qui, au cours d’une histoire gentiment philosophique va apprendre à le corriger. Ici, le héros est un roi et son défaut, c’est qu’il a tout ce qu’il veut et que maintenant il faudrait « Rien ».

C’était vraiment particulier, presque contre-intuitif de suivre cette quête d’un « Rien ». Ça remet complètement le cerveau et j’ai trouvé très malin la façon dont l’auteur ainsi nous fait passer plein de message sur notre mode de consommation, notre façon de vivre, notre rapport à la nature, au monde qui nous entoure, animal comme naturel, grand comme petit, réel comme imaginaire. L’auteur est vraiment plein d’idée et pour cela, chapeau !

Le hic cependant de ce concept, c’est que personnellement, je n’ai rien ressenti face à la quête du héros. Je suis restée en dehors de cette aventure que j’ai trouvé un peu trop philosophique, ce qui l’a rendu froide pour moi, malgré toutes ses bonnes intentions.

Je salue donc l’intention et l’idée, il fallait la trouver et il fallait savoir la mener comme ça, malheureusement cela n’a pas fonctionné sur moi comme cela avait fonctionné avec les précédents albums de l’auteur. Il y a pourtant les mêmes dessins charmants, le même découpage sobre et efficace, la même intention de nous faire réfléchir, mais ce roi n’a pas réussi à m’impliquer dans son histoire. Dommage.

(Merci beaucoup à L’école des Loisirs pour leur confiance et cet envoi)

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Titre : L’expédition rocambolesque du professeur Schmetterling

Auteurs : Vanessa Simon-Catelin et François Soutif

Éditeur : L’École des Loisirs (Kaléidoscope)

Date de parution : 24 août 2022

Nombre de pages : 42

Résumé : Des neiges éternelles aux grottes les plus profondes, des jungles luxuriantes aux déserts arides… le professeur Schmetterling est prêt à tout traverser pour débusquer le Levana, ce mystérieux papillon que la communauté scientifique pense disparu. Disparu ? Que nenni ! Le savant n’y croit pas. Accompagné de son fidèle oiseau parleur, armé d’une épuisette et d’un carnet à dessins, Schmetterling claque la porte de son étude… et EN AVANT L’AVENTURE !

Mon avis :

 Quand j’ai demandé ce livre, je ne savais pas encore qu’il était édité en partenariat avec le Museum d’Histoire naturelle et comme par hasard, il fait partie des musées que j’ai visités lors de mon séjour parisien la semaine passé. Le hasard fait bien les choses !

Lors de mon passage à la Galerie de l’évolution, j’avais justement été frappée par la beauté des vitrines des papillons au premier étage qui étaient de toute beauté. Je comprends pourquoi les auteurs les ont choisi comme support à leur aventure entomologique !

Pour cette première rencontre avec le duo, j’ai adoré leur tendre humour et le dessin plein candeur truculente de François Soutif. Ils nous embarquent dans une aventure digne d’un Tintin, où l’on se met dans la peau d’un entomologiste qui part à la recherche d’un papillon en voie d’extinction, ce qui va l’amener aux confins de la Terre.

C’était archi savoureux de se caler dans ses pas et de visiter la Terre et ses paysages variés à travers les doubles pages fourmillantes du dessinateur. J’ai adoré parcourir des yeux les détails de celles-ci avec le professeur d’un côté et tout plein de scènes animalières autour. C’est frais, drôle et cocasse, plein d’un charme qui m’a rappelé mon expérience récente sur A la recherche du Père Noël d’Anne Montel où il fallait aussi fouiller chaque planche. J’adore ce genre de chose, surtout quand l’auteur joue avec nous et montre des scènes amusantes et décalées. C’est un pur régal. 

Mais en dehors de cette expérience visuelle fort réussie où on voit la diversité des paysages et animaux dont la Terre est dotée, l’histoire offre un très joli message sur la biodiversité et la protection de l’environnement et des espèces y vivant, normal en même temps pour un ouvrage édité en collaboration avec le Museum d’Histoire Naturelle de Paris dans lequel on peut trouver tout un étage consacré à cela. C’est un message fort et important à marteler dès le plus jeune âge et ici c’est fait avec humour et finesse mais non moins puissamment.

Comme on aurait suivi un récit picaresque, Vanessa Simon-Catelin et François Soutif nous entraînent dans une aventure fort amusante ici en mettant leur lecteur dans la peau d’un scientifique à la recherche d’une espèce sur le point de disparaître. Avec ses allures de Tintinophile, ce fut fort savoureux de suivre les voyages de ce héros hors du commun. Si cela pouvait créer des vocations et donner à réfléchir à ce qu’on fait, le message serait bien passé. En tout cas, ici, il a été reçu ! Merci pour cette belle aventure très utile en prime 😉

(Merci beaucoup à L’école des Loisirs pour leur confiance et cet envoi)

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5 commentaires sur “10 chats / La cape magique / La fougère et le bambou / Jurassic Love / Le roi et rien / L’expédition rocambolesque du professeur Schmetterling

  1. Après avoir lu ton billet, 10 chats me tente bien pour les petits de la famille ! J’ai eu l’occasion de lire L’expédition rocambolesque du professeur Schmetterling avec de jeunes enfants cet été, ça a très bien marché et nous nous sommes bien amusés à chercher le fameux papillon à travers ces jolies pages.

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    1. Je pense que 10 chats peut plaire aux petits comme aux grands, la preuve 😉
      Oh c’est chouette que t’aies eu l’occasion de tester l’Expédition. J’avoue que j’adore ce genre d’exercice où il faut chercher, ça permet de plonger encore plus dans les images alors que parfois on va un peu trop vite autrement ^^!

      Aimé par 1 personne

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